Le Palais de Tokyo, près du Trocadéro à Paris, abrite actuellement l’exposition “Ma pensée sérielle” de l’artiste suisse ashkénaze Miriam Cahn. Non seulement les œuvres exposées sont uniformément laides, mais en plus un tableau représente une scène à caractère sexuel impliquant un enfant. Les Nationalistes estiment que le rôle de l’art est d’élever l’esprit par la beauté, et non de montrer ce que l’humanité présente de plus abject. L’art ne doit pas porter atteinte aux bonnes mœurs en affichant avec complaisance des déviances ou des crimes. De telles représentations peuvent servir d’encouragement à ceux qui seraient tentés de passer à l’acte.
Les militants de Paris Nationaliste se sont donc rendus devant le Palais de Tokyo et y ont déployé une banderole et distribué des tracts réclamant la fermeture immédiate de l’exposition et une répression sérieuse de la pédocriminalité.
Tractage au marché voisin
Le tract distribué
Miriam Cahn assure que l’œuvre en question est une dénonciation de crimes de guerre en Ukraine, et que la scène ne comporte que des adultes.
Dès lors, pourquoi donner une apparence enfantine à l’un des personnages de la scène ?
Pourquoi donner à l’« œuvre » un titre provocateur : Fuck abstraction ?
Pourquoi Miriam Cahn a-t-elle représenté, en 2010, dans un tableau intitulé Geschwister (en français : frère et sœur), un personnage dénudé tenant par la nuque deux enfants ?
Deux affaires récentes ont montré que les réseaux pédocriminels n’avaient pas peur d’étaler leurs pratiques abominables au grand jour, parfois sous des prétextes artistiques :
- L’affaire du Pizzagate (Etats-Unis, 2016), du nom de cette pizzéria de Washington, où se retrouve tout le gratin politique démocrate de la capitale américaine, et dont le gérant multipliait sur son compte Instagram ou sur les murs de son restaurant les allusions à la pédocriminalité.
- L’affaire Balenciaga (France, 2022) : la marque des célébrités et des milliardaires a affiché dans deux campagnes de publicité pour des vêtements des documents et des œuvres d’art faisant référence à la pédocriminalité. Des œuvres d’art qu’on peut retrouver dans la collection Pinault, dirigée aujourd’hui par Emma Lavigne, ex-directrice…du Palais de Tokyo !
Miriam Cahn trouve en fait un prétexte pour afficher ses obsessions malsaines avec la complicité du Palais de Tokyo, de son directeur Guillaume Désanges. Tout ça financé par l’argent du contribuable.
Le Palais de Tokyo nous régale avec le meilleur de l’art ashkénaze
Avant d’accuser les Russes de tels crimes, pourquoi Miriam Cahn ne s’insurge t-elle pas contre le fait que Jack Lang soit président de l’Institut du monde arabe, à Paris et que Cohn-Bendit soit un conseiller de Macron ?
Mardi 28 avril dernier, le tribunal administratif de Paris a débouté six associations de protection de l’enfance qui réclamait le retrait de l’œuvre.
Abdul, ministre de la culture, a apporté son soutien à l’artiste, invoquant la liberté de création. Sans surprise, le gouvernement macroniste fait preuve d’une coupable indulgence pour la pédophilie. Elles ont été moins permissives lorsque Macron a été représenté en marionnette manipulée par Attali sur un mur d’Avignon. Les autorités avaient fait immédiatement effacer la fresque. Dans ce cas-là, plus aucune liberté de création ne s’exerce !
Ce ne sont pas les tableaux qu’il faut pendre, mais les pédocriminels et leurs complices !
Le Palais de Tokyo pose néanmoins les bonnes questions
Le Palais de Tokyo, belle construction des années 30, de style art déco, n’aurait jamais dû devenir le musée des horreurs. Que penserait de cette décadence le premier directeur du Palais de Tokyo, Louis Hautecoeur, nommé directeur général des Beaux-Arts par le gouvernement du Maréchal Pétain ?
Superbe initiative que seuls les nationalistes ont le courage de prendre. Bravo à ses jeunes qui sacrifient de leur temps et prennent des risques pour porter nos valeurs.