C’est effectivement ce que doivent penser les habitants de la Canebière.
Parce qu’en 2013, Marseille est la capitale européenne de la culture …criminelle !
Déjà une quinzaine de règlements de compte depuis la Saint-Sylvestre et aucune amélioration en vue d’ici la trêve des confiseurs…
Le ministre de l’Intérieur a bien déversé sa haine envers les mouvements nationalistes, envers MM. Soral et Dieudonné et aussi contre le F.N, lors de l’université d’été du P.S à La Rochelle, mais il ne s’est pas trop longtemps appesanti sur la vague de règlements de compte et de criminalité qui non seulement déferle sur la cité phocéenne, mais affecte aussi d’autres villes en France.
Manuel Valls, ce fervent amateur de gazage des femmes, des enfants et des vieillards, n’a pas encore démontré ses compétences quant à combattre la racaille et la pègre immigrée, coupables d’assassinats, de viols, d’agressions et de véhicules incendiés dans tout l’Hexagone.
« La délinquance baisse à Marseille, dans tous les domaines » affirmait Pinocchio-Valls le 22 août dernier. On souhaiterait moins de bla-bla et plus de résultats.
Pour la majorité des citoyens « la sécurité, c’est la première des libertés » et ils exigent de pouvoir se déplacer sans être attaqués par des crapules à chaque coin de rue, dans le train ou dans le métro.
Le danger ne vient pas de l’extrême-droite, des fââââchistes ou des partis nationalistes, mais des ministres qui adoubent les criminels d’une culture de l’excuse, pardonnent aux délinquants leurs méfaits sur les victimes et incitent les juges à une complaisance suspecte.
Il faut mettre le holà à cette dérive imbécile, dictée par des idéologues au service de doctrines hérétiques, qui tentent de nous convaincre qu’il s’agit d’un « sentiment d’insécurité » ou encore d’un « ressenti ».
« La mort pour les assassins. La vie pour les innocents ! »
Pieter Kerstens.