Deux plus de cent ans, les sociétés européennes prennent en compte le bien-être animal dans leurs législations comme aucune autre dans le monde. Le mouvement, né dans les pays nordiques, a été vivement accéléré durant l’Allemagne nationale-socialiste qui a bâti la législation la plus protectrice sur le sujet de l’époque. Ces avancées ont été jugées intolérables pour certains groupes ethnopolitiques qui ont fait de la torture des animaux une pratique quotidienne. Tout particulièrement, les représentants juifs avaient à l’époque présenté l’interdiction des tortures contre les animaux comme une attaque « antisémite », selon un registre accusatoire hélas trop connu.
Soixante-dix ans après l’invasion de l’Europe par les armées américano-russes, la situation n’a pas changé. Les mêmes arguments, les mêmes campagnes de haine, les mêmes groupes de pression agissent, attaquent, sont lancés pour empêcher toute progression du droit européen concernant le bien être animal.
Ainsi au Parlement européen, une loi a été adoptée concernant les souffrances animales. Elle interdisait de fait les pratiques rituelles barbares judaïques et islamiques des abattages dit « kasher » et « hallal ». Immédiatement les eurodéputés avaient laissé la possibilité d’autoriser justement et précisément ces abattages qui n’ont, justement et précisément, d’autre objectif que d’infliger des souffrances inutiles aux animaux abattus.
Malgré cela, certains pays, les moins touchés par les groupes de pression issus de ces deux groupes ethnoreligieux, particulièrement le premier, ont néanmoins pris des mesures pour interdire ces tortures. C’est le cas de l’Islande, de la Norvège, du Danemark, de la Suède, de la Suisse et du Liechstenstein. La Pologne avait rejoins ces pays avancé il y a plusieurs mois, subissant en retour de violentes attaques de la part d’organisations juives.
La Cour constitutionnelle, qui avait été saisie par la colonie juive de Pologne démontrant son refus de s’intégrer et de se plier aux lois européennes , vient finalement de prétendre qu’interdire les tortures contre les animaux était contraire à la constitution polonaise. Les lois sur la torture devrait donc, selon les juges polonais, être soumis à la « liberté de religion ». Les juges n’ont pas précisé si le meurtre rituel rentrait également dans le cadre de la liberté religieuse. C’est ce que laisse entendre les arrêtés du jugement :
« La garantie constitutionnelle de la liberté de religion s’étend à toutes les activités, pratiques, rites et rituels qui revêtent un caractère religieux. La protection constitutionnelle s’étend aussi à des activités religieuses éloignées des comportements dominants dans un État donné, voire impopulaires pour la plus grande partie de la société »
a ainsi précisé la juge Maria Gintowt-Jankowicz.
Cinq des quatorze juges constitutionnels ont refusé de se coucher devant les barbares et se sont prononcé contre cette décision.