Confiné par les Alliés dans cette île pauvre de 230 km2, à peine peuplée de 12 000 habitants, l’Empereur des Français s’est refait une santé et a mis tout son génie au service de ses nouveaux sujets en s’appliquant à moderniser ses infrastructures.
Il a vent de rumeurs faisant état de son possible transfert sur un îlot beaucoup plus hostile, Sainte-Hélène !
Informé du mécontentement latent chez les paysans français et chez les militaires tenus à l’écart par le Roi, rentré à Paris dans les fourgons des Alliés, Napoléon se convainc que les Français n’attendent que son retour et décide de s’enfuir.
Il quitte l’Ile le 26 février 1815 à bord du brick L’Inconstant, accompagné de six autres bateaux. Échappant aux Anglais, la flottille gagne par surprise Golfe Juan. Le 1er mars 1815, Napoléon débarque au Golfe Juan, près d’Antibes, avec 900 grenadiers, en provenance de l’île d’Elbe.
Il rallie à lui la plupart des troupes venues l’arrêter dont celle du maréchal Ney. Il peut remonter jusqu’à Paris et fait une entrée triomphale le 20 mars 1815 au palais des Tuileries, d’où s’est enfui le roi pas plus tard que la veille.
Les Alliés avaient eu l’obligeance de laisser sept bateaux et neuf-cents grenadiers à la disposition de l’Empereur ? Ils sont cons ou quoi ?!…
S’il est indéniable que Napoléon fut à la fois un bourreau de travail, dormant quelques heures par nuit, et aussi un génie de l’organisation et un génie militaire, il faut aussi souligner qu’il disposait d’un peuple exceptionnel, à la fois par ses qualités guerrières, mais aussi par ses facultés de renouvellement démographique.
On se souvient de la phrase de l’Empereur, comptant ses morts au lendemain d’une bataille : « Une nuit de Paris remplacera nos morts ! »
Dans une France dont la démographie était alors la plus importante d’Europe, il faut donc saluer la part des réussites de l’Empire qui doit être attribuée aux mères de famille, à une époque où les femmes Françaises assuraient la continuité de leurs familles et donc de leur pays.
Qu’on le comprenne ou non, c’est d’abord la démographie qui permet aux conducteurs de peuples d’écrire l’Histoire.
C’est pourquoi wokisme ou pseudo féminisme doivent être combattus en tant qu’élément essentiel de destruction de notre communauté ethnique et nationale.
Qu’on me permette de citer le Général Bigeard qui me disait un jour (je l’ai à l’époque publié dans « Minute ») : « La seule guerre dont on ne se relève jamais lorsqu’on la perd… c’est la guerre des maternités ! »
« Et surtout – ajoutait-il – lorsque ce sont des étrangers qui viennent chez vous se reproduire à vos frais, tandis que les français de souche font à peine un enfant 1/2 par couple ! »
A méditer pour les couples identitaires : AVOIR DES ENFANTS, C’EST COMBATTRE.