Le 5 février 2022, les Nationalistes, à l’invitation du Cercle Franco Hispanique, sont venus, sur la tombe de Robert Brasillach, honorer cet écrivain de génie, fusillé par les gaullistes et les communistes le 6 février 1945, ainsi que son beau-frère Maurice Bardèche et toutes les victimes du 6 février 1934.
Nous, Nationalistes, n’oublierons jamais la mémoire de nos héros.
Cette année, la tombe avait été hélas souillée par une main aussi lâche qu’anonyme de l’inscription « collabo ».
C’est pour nous l’occasion de rappeler qu’une occupation militaire, aussi dramatique qu’elle soit, n’a jamais détruit l’âme d’une nation.
Choisir de suivre l’exemple de son vainqueur, pour régénérer sa propre Patrie, à la lumière des leçons qu’il peut apporter, est un acte de lucidité patriotique.
La France, depuis l’instauration de la République, avait dû au moins trois fois subir l’invasion de sa capitale, en 1814, 1815 et 1871, avant ce tragique printemps de 1940, sans pour autant disparaître.
Par contre, la destruction méthodique de nos traditions, la submersion de notre peuple par une immigration massive et incontrôlée créent une situation totalement nouvelle, qui met en péril l’existence même du peuple français, de la nation française.
Ceux qui souillent la tombe de Robert Brasillach soutiennent cette politique et ce régime mortifères.
Ils sont aussi les héritiers des assassins de 1934 et de 1945, de ceux qui tiennent les fusils et font tirer sur le peuple de France parce que les intérêts qu’ils servent ne sont pas ceux de la France et des Français.
Nous ne l’oublions pas et nous ne pardonnerons pas.
Loin d’être les derniers d’hier, nous serons les premiers de demain !
« Robert Brasilach…fusillé par les gaullistes et les communistes le 6 février 1945, ainsi que son beau-frère Maurice Bardèche et toutes les victimes du 6 février 1934. »
Il faut saluer le courage de « Jeune Nation » bien seule aujourd’hui à évoquer ce sinistre 6 février 34 qui vit les ligues patriotiques royalistes chargées par les troupes de gendarmeries de la république… Mon grand père Croix de feux, qui en fut acteur, m’a souvent parlé de cela…
Il était encore d’usage dans les années 70 qu’une messe soit célébrée chaque année pour les victimes où les noms des victimes étaient égrenés… J’ignore si cela continue aujourd’hui…
Cela étant dit, la phrase que j’ai citée est particulièrement maladroite dans sa syntaxe et laisserait supposer – pour un lecteur peu averti, ou peu attentif – que Maurice Bardèche a été fusillé en 45 (le 6 février, quel cynisme des gaullo-communistes!) comme son beau frère Robert Brasillac.
Ce ne fut évidemment heureusement pas le cas!
Toutes mes excuses! J’ai omis de souligner ici que la messe en question était célébrée en l’Eglise de la Madeleine, quasiment 200 m du théâtre des émeutes. L’avoir oublier, retire toute l’importance à cette évocation!