Bataille fondatrice pour la Grèce et l’Europe, la bataille des Thermopyles est le symbole du sacrifice ultime pour le bien de la patrie et la sauvegarde de la civilisation face à l’invasion. Durant l’été 480 avant notre ère, les barbares lancèrent une immense armée à l’assaut de la Grèce. Ce danger poussa les cités grecques, minées par d’importantes oppositions, à s’unir. La quasi-totalité des cités envoya un contingent vers la côte de la mer Égée où arrivait l’armée perse.
Après une manœuvre de la flotte grecque, l’armée terrestre fut surprise par l’ennemi et de nombreux soldats prirent la fuite. Alors que le combat semblait perdu pour les Grecs, le roi spartiate Léonidas, à la tête de quelques centaines d’hommes, 300 hoplites de Lacédémone et quelques centaines d’autres soldats, principalement 700 Thespiens, décida de freiner l’invasion dans le défilé des Thermopyles. «On ne recule pas ! ».
Sans espoir de succès ni de survie, il savait que chaque minute gagnée permettrait aux Grecs de réorganiser leur défense. Après trois jours de résistance héroïque dans l’étroit défilé des Thermopyles, les Grecs passèrent à l’attaque du camp perse.
Ils périrent tous jusqu’au dernier ; mais, au-delà de l’objectif militaire immédiat et du temps gagné, c’est le courage des soldats de Sparte, leur héroïsme, leur détermination, qui va conduire l’armée grecque, portée par un nouveau souffle, à la victoire. Quelques semaines plus tard, aux premiers jours de l’automne -480, la flotte hellène remporte une bataille navale décisive à Salamine. L’année suivante, les troupes grecques, avec à nouveau en première ligne des Spartiates, écrasent l’armée perse à Platée. L’invasion est définitivement repoussée.
Plusieurs milliers de patriotes grecs se sont rassemblés samedi 26 juillet pour commémorer le sacrifice des Spartiates aux Thermopyles. Ce sont ces valeurs, héroïsme et courage face à l’ennemi, et ces hauts faits d’armes autant que l’unité grecque que les nationalistes ont célébrés. Le député Ilias Kasidiaris, depuis sa prison, a délivré un message aux Grecs présents, tout comme le chef de l’Aube dorée Nikos Michaloliakos, dont le message a été lu par sa fille, Ourania.
Michel Tsakiris a fait le parallèle entre la bataille des Thermopyles et la répression subie par l’Aube dorée, une résistance qui ouvre la voie à de futures victoires totales comme à Platée.
Sotiris Develekos, membre du comité central du mouvement, a retracé la geste héroïque des Spartiates. Ilias Kiritsis, représentant les Jeunes du mouvement a rappelé que les jeunes nationalistes continuent le combat et ne baissent pas la tête devant l’ennemi, quels que soient sa puissance et ses coups : « On ne recule pas ! »
Le conseiller municipal d’Athènes Elias Panagiotara a évoqué les persécutions contre le mouvement, soulignant que la répression ne faisait que renforcer le mouvement qui poursuit son développement comme jamais. La militante Ourania Michaloliakos, fille du chef du mouvement, a ensuite pris la parole ; un enregistrement de son père, réalisé en prison, a ensuite été diffusé sur la terre sacrée des Thermopyles.
Le député européen de l’Aube dorée Lambros Fountoulis a également pris la parole. Il a exhorté les Grecs à se rappeler le sacrifice de Léonidas et de ses hommes et à s’en inspirer pour les luttes d’aujourd’hui. Il a cité le poème de Constantin Cavafis, Thermopyles :
Honneur à ceux qui dans leur vie
se sont donnés comme tâche la défense des Thermopyles.
Ne manquant jamais à leur devoir;
justes et droits dans leurs actes,
mais cependant compatissants envers les autres;
généreux s’ils sont riches, et s’ils sont pauvres
encore présents, selon leurs moyens,
prêts encore à porter secours;
n’hésitant point à dire la vérité,
et cependant sans haine pour les hâbleurs.
Mais ils sont encore plus dignes d’éloge
lorsqu’ils prévoient (et beaucoup le savent)
qu’Ephialte ne manquera pas d’apparaître
et qu’en définitive les Mèdes forceront le passage.
Les participants se sont recueillis durant quelques instants avant de saluer la mémoire des Spartiates, des Thespiens et des deux héros de l’Aube dorée, Giorgos Fountoulis et Manos Kapelonis, qui ont été salués par un vibrant « Présents ! ».
Le mouvement nationaliste poursuit son activité politique et sociale (distributions de nourriture, de vêtements, alertes à la population sur les dangers de l’invasion, etc.), malgré les nouveaux coups portés par la dictature grecque. Le 30 juin, les deux juges amies du premier ministre qui mènent une enquête sur l’Aube dorée ont mis en examen le député Artémis Mattheopoulos. Désormais, les 16 députés du mouvement font l’objet de charges criminelles. Au total, près d’une trentaine de personnes membres de l’Aube ou sympathisants des idées de libération nationale sont enfermés dans les geôles de la dictature. Ilias Kasidiaris a été arrêté le 10 juillet 2014 et a rejoint en prison les principaux dirigeants du mouvement. La dictature grecque a fait enfermer jusqu’ici neuf députés nationalistes pour tenter d’empêcher leur action au parlement et priver les Grecs de ses représentants légitimes.
Outre les attaques directes de la junte au pouvoir, l’Aube dorée fait face aux actions terroristes des mercenaires de l’ombre du régime. Ainsi l’extrême gauche poursuit ses attaques quotidiennes avec la complicité active de la police et de la justice. Ces derniers jours, le local du mouvement à Kalamanta a été vandalisé et ce matin même, la voiture d’un dirigeant régional de l’Aube dorée a été incendiée, sans que la police intervienne.
Envers et contre tous, pendant que la junte au pouvoir pille le pays et que les extrémistes de gauche, marxistes et anarchistes, montrent que leurs seules motivations sont la haine et la destruction, les militants de l’Aube dorée poursuivent leur combat pour le relèvement de la Grèce et pour les Grecs, par des réunions politiques, des distributions de nourriture ou de vêtements, par leur lutte pour l’environnement et contre les maltraitances aux animaux, etc.
Die griechische Kultur und Zivilisation wäre durch eine persische Eroberung nicht in Gefahr gewesen. Das persische Reich war bekannt für seine ethnische und kulturelle Vielfalt und Toleranz.
Auch in den griechischen Städten an der kleinasiatischen Küste (Ionien) unter persischer Hoheit konnte sich die Kultur völlig ungefährdet entfalten.
Das stimmt teilweise, nicht ganz. Ethnische und Kulturelle Vielfalt kennzeichnete zwar das persische Imperium, aber der größte Ansporn der griechischen Kultur und Zivilisation war der den indogermanischen Völkern eigen ἀγών (agon), eine Art Lebensauffasssung als Wettkampf, Wettbewerb (Jakob Burckhardt sprach von « einem agonistischen Ideal des Lebens » bei den Griechen), worin es darum geht, sich zu Höchstleistungen, egal in welchem Bereich (Kunst, Wirtschaft, Sport, Wissenschaft), emporzuschwingen, um seinen eigenen Wert (ἀρετή), seine Erstklassigkeit zu zeigen. Wenn das alte Griechenland bis Alexander der Große geistig, sportlich und künstlerisch so erblühte, ist es zurückzuführen, dass es frei war. Die Stadtstaaten (Sparta, Athenes, Thebes, die Städte Kleinasiens, etc.) maßen sich miteinander, um kulturell hochentwickelt betrachtet zu werden.
Ich bin mir nicht sicher, dass eine solche kulturelle Hochblüte unter Persischer Herrschaft hätte stattfinden können. Mit der hellenistischen Zeit, die nach den Eroberungen Alexanders -324 anbrich, fing der sukzessive Niedergang Griechenlands an.
En ayant compris depuis longtemps que les criminels ne sont pas les nationalistes mais, au contraire, ceux qui encouragent l’immigration envers et contre tout argument rationnel, les avocats d’Aube Dorée montrent qu’ils sont, non seulement dignes de nos traditions, mais aussi visionnaires. Car il faut être conscient que, parmi ceux qui rejoignent le nationalisme aujourd’hui, certains ont, pendant des décennies, été aveuglés en toute bonne foi par la propagande antiraciste. Les anciens du nationalisme sont donc ceux à qui l’on peut dire : « Vous nous avez ouvert les yeux ». Nous avons un devoir de défense envers la terre de nos ancêtres.