Mirna Safi, « chercheuse » à Sciences Po, vient de rendre son rapport au Migration Policy Institute (MPI, Institut des politiques migratoires)1, un organisme mondialiste basé à Washington. Il s’intitule : Changer d’approche : politiques pour favoriser l’intégration des nouveaux immigrants sur le marché du travail en France (Shifting focus : Policies to support the Labor Market Integration of New Immigrants in France).
Le MPI est financé par diverses fondations et groupes de combat contre la tradition, de la Fondation Ford à l’ONU et l’Union européenne (UE) en passant par le gouvernement américain – spécifiquement par le Département de la sécurité intérieure – et ceux de divers pays européens (Allemagne, Espagne, Finlande, Grande-Bretagne, Grèce, Italie, Moldavie, Norvège, Pays-Bas, Suède), la Banque mondiale et de nombreuses organisations « philanthropiques » juives.
Ce rapport a donc pour objectif de valider les politiques mises en place par les autorités mondialistes contre les Européens. Pour prendre un seul exemple, signalons que la Fondation Ford finance dans le même temps en France de nombreux groupes antifrançais, tels que SOS Racisme et le Conseil représentatif des associations noires (CRAN).
Il s’agit pour Mirna Safi de complaire à ceux qui financent ses « recherches », c’est-à-dire justifier les politiques libérales-marxistes. C’est ce théâtre d’opérations très rémunérateur et recherché qu’a choisi Mirna Safi pour sa carrière politique – dite « universitaire » – visant à justifier l’invasion de notre continent et la prise de pouvoir par les étrangers. Le département de sociologie de Science Po Paris où sévit Mirna Safi est d’ailleurs affilé à l’Observatoire sociologique du changement (OSC), rattaché au Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Cette étrangère est également membre du Centre de recherche en économie et statistique (CRÉST).
Sa thèse de doctorat à l’École des hautes études en sciences sociales (ÉHÉSS) portait sur Le devenir des immigrés en France. Barrières et inégalités ; elle a publié également un livre sur Les inégalités ethno-raciales. Sûr d’elle-même et dominatrice, cette étrangère ne s’embarrasse pas d’arguments quand elle discute sur tweeter. Les réfractaires à ses thèses ne sont que des « barbares [rigoureusement sic] analphabètes [re-sic] ». L’insulte prend toute sa saveur à la lecture de son introduction en « français ».
Au moment où les sociétés européennes prennent conscience des dangers de l’invasion, elle ne craint pas de prétendre que « l’intégration est un processus bidirectionnel qui nécessite une adaptation autant des migrants que de la société hôte » L’intégration, pour elle, c’est que les envahis s’adaptent à leurs envahisseurs.
Mirna Safi n’a diffusé en français que l’introduction de son rapport, financé directement par le contribuable européen via l’UE et l’Organisation internationale du travail (OIT). Elle en dit long sur l’état de la « recherche » et des universités en France. Nous avons laissé les fautes.
En France, les immigrants sont plus susceptibles d’être au chômage ou en travail peu qualifié que leurs homologues nés au Canada. Les immigrants font face à un certain nombre de défis à l’entrée et l’avancement sur le marché du travail français, y compris la discrimination, la reconnaissance des qualifications étrangères, et les réseaux professionnels limités. En outre, le marché du travail français est structurellement défavorable à de nouvelles entrées, migrants ou les jeunes nés et les ressortissants étrangers hors Union européenne (UE) sont exclus de nombreux emplois dans le secteur public et privé.
Malgré ces obstacles, le gouvernement n’a pas fait une priorité de la politique de l’obtention de nouveaux arrivants en emplois. La politique d’intégration en France a toujours pris la forme de la politique urbaine, en ciblant les quartiers défavorisés qui se produisent souvent à avoir un grand nombre d’immigrants et de leurs enfants plutôt que les immigrants eux-mêmes. Bien qu’il y ait eu des réformes importantes en matière de politique d’intégration depuis 2000, l’objectif de ces réformes a été culturel, socio-économique non, intégration. Plusieurs caractéristiques de système de développement de la main-d’œuvre robuste de la France sont disponibles pour les immigrants à leur arrivée, y compris l’utilisation du service public de l’emploi qui fournit une assistance de recherche d’emploi et d’orientation professionnelle, mais les immigrants sont exclus les éléments les plus prestigieux comme la formation professionnelle.
Ce rapport examine la façon dont les politiques générales de l’emploi, en combinaison avec les récentes réformes, en particulier la politique d’intégration de l’introduction d’une nouvelle catégorie, «les migrants nouvellement arrivés» -sont appui à l’intégration des migrants sur le marché du travail et la promotion des emplois moyennement qualifiés. Le rapport donne un aperçu des progrès réalisés par les immigrants dans le marché du travail français et analyse récente politique d’immigration française et les aspects pertinents des programmes de lutte contre la discrimination politique de l’emploi, de la langue et de la formation professionnelle, et. Enfin, le rapport propose des recommandations politiques.
Voici ci-dessous la traduction (réalisée par nos soins) des propositions de Mirna Safi au gouvernement pour organiser la préférence étrangère en France :
Politiques pour renforcer le marché du travail – L’intégration des nouveaux immigrants en France.
Adopter une approche centrée sur l’emploi des migrants inactifs. L’emploi est une importante dimension de l’intégration pour tous les migrants, pas seulement pour les migrants actifs. Les efforts du gouvernement pour réunir employeurs et migrants devraient être étendus aux autres catégories de migrants au plus tôt dans la trajectoire migratoire. Cela implique une certaine distanciation par rapport aux politiques dominantes du contrôle migratoire.
Travailler ensemble à déminer le discours. Adoucir le ton des discours politiques au sujet de l’intégration des migrants bénéficiera à tous les acteurs. Les législateurs et hommes politiques pourraient reconnaître que l’intégration est un processus bidirectionnel qui nécessite une adaptation autant des migrants que de la société hôte et en conséquence les politiques d’intégration.
Améliorer la coopération entre les ministères et les organismes gouvernementaux. La coopération entre des services publics et le gouvernement central dans la conception et la mise en œuvre des politiques d’intégration pourrait aider à mobiliser des compétences distinctes et complémentaires (urbanisme, emploi, social, culture, etc.). Dans tous les pays qui s’engagent dans des programmes d’intégration à grande échelle, l’agenda d’intégration touche la totalité du spectre de la vie économique, politique, civique et sociale. De nouvelles structures collaboratives pourraient aussi fournir l’opportunité d’analyses d’universitaires et d’autres experts.
Cibler les migrants au sein des principaux services publics. Les organismes d’emplois pourraient être conçus pour mieux servir les besoins des migrants, par exemple en l’identifiant comme un groupe désavantagé avec des besoins d’assistance spéciaux et s’assurer que les résultats soient évalués, publiés et intégrés aux statistiques officielles.
Intégrer les services ciblés et grand public. Repenser les politiques d’intégration à long terme peut nécessiter la construction de ponts solides entre des politiques d’intégration orientées vers les nouveaux arrivants et des politiques frontalières qui peuvent affecter les immigrants défavorisés et leurs enfants, ou la population en général.
Identifier et surmonter les barrières. Atténuer les obstacles concrets qui empêchent les trajectoires socio-économiques des immigrants serait un pas positif dans la refonte des approches de l’intégration. Les politiques d’intégration pourraient chercher à uniformiser les règles en qui concerne l’accès aux ressources et aux services. Dans le cadre de cette approche, l’amélioration de la reconnaissance des compétences et l’encouragement à la naturalisation sont deux domaines qui ont des effets positifs sur l’emploi. Les acteurs locaux aussi ont un rôle important dans la levée de ces obstacles, mais pourraient envisager des actions plus ciblées au bénéfice de femmes, de réfugiés ou de migrants venant de pays spécifiques.
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1La liste des donateurs du Migration Policy Institute est disponible sur le site du MPI.
merci pour cette initiative louable