Alors qu’il va faire son entrée au Panthéon aujourd’hui, il n’est que dithyrambes dans la presse du Système pour Robert Badinter. Revenons sur les différentes facettes d’une carrière aussi remarquable par sa longévité que par sa nuisance.
Né le 30 mars 1928 à Paris, il est le fruit de Salomon Badinter, ashkénaze de Bessarabie ayant immigré en 1919 en France, et de Shiffra Rosenberg de même origine. Durant l’Occupation, bien que juif, Badinter n’a pas été inquiété. Sous un faux nom, il fait sa scolarité au lycée très coté Vaugelas de Chambéry, puis après guerre, continue ses études à l’université. Il est à noter qu’il bénéficie d’une bourse versée par le gouvernement français pour compléter sa formation (il est diplômé de l’université Columbia de New York grâce à cela). Ainsi donc, ce fils d’immigrés en provenance d’une des régions les plus pauvres d’Europe doit tout à la France. Dire qu’il a été ingrat est un euphémisme, car il lui a bien mal rendu ce qu’elle lui a donné !
En effet, devenu avocat, il aura pour obsession de défendre les criminels de la pire espèce. Il décida de se spécialiser des assassins d’enfants, tels que Patrick Henry. Le mode de défense qu’il choisit n’était pas de chercher la réalité de faits particulièrement sordides et éventuellement de trouver des circonstances atténuantes, mais d’évoquer à la barre des débats de société et notamment la peine de mort qui, selon lui, serait inhumaine. C’est ainsi, en culpabilisant les jurés qu’il épargna la peine de mort à Patrick Henry, assassin d’un enfant de 7 ans, mais aussi à Michel Rousseau, assassin d’un enfant de 7 ans également. Il prit la défense de Mohamed Yahiaoui, assassin d’un couple de boulangers, et de récidivistes comme Norbert Garceau, assassin d’une infirmière en 1978 qui avait déjà été condamné en 1953 à la perpétuité pour l’assassinat d’une fille de 15 ans…Bref, voilà les causes qu’aimait défendre Badinter et à qui Macron veut rendre un hommage national ! C’est le monde à l’envers, Macron parlant d’ailleurs de « figure du siècle ».
On notera qu’il a comme successeur à cette tâche Alain Jakubowicz, avocat de Nordahl Lelandais, assassin la petite Maelys, 8 ans. Ces avocats, ethniquement de la même origine, semblent animés par une étrange passion à défendre les pires rebuts de l’humanité – les assassins d’enfants-, alors que leurs cabinets d’avocats ne manquent pas de clients.
D’ailleurs la haine des enfants français que Badinter éprouvait ne se manifestait pas seulement dans la défense des assassins. Si des capitalistes industriels très fortunés étaient impliqués dans des affaires sordides concernant des enfants blancs, le Bessarabien répondait présent pour leur défense. C’est ainsi qu’il fut l’avocat en charge de la défense dans l’Affaire du talc Morhange. Rappelons de quoi il s’agit : des industriels en mal de profits avaient introduit un bactéricide en quantité importante dans leur talc. Il en résulta la mort de 36 enfants issus des couches modestes de la société, tandis que d’autres étaient handicapés à vie. Qui donc ces industriels prirent-ils comme avocat ? Badinter, évidemment ! Mal leur en prit, car il ne réussit pas à les sauver judiciairement et ces derniers furent condamnés. Mais c’est en 1981 avec l’arrivée de Mitterrand au pouvoir que la vraie nature infâme de cet individu se révéla. Devenu garde des sceaux grâce au peuple ouvrier luttant contre les riches selon la mythologie gauchiste, il demanda à Mitterrand d’amnistier ces industriels empoisonneurs de bébés blancs issus des classes ouvrières, alors même qu’ils avaient été condamnés par la justice ! Ce qui fut fait !
On pourra consulter sur le site de l’INA un reportage très éclairant consacré à cette affaire, avec des interviews de parents d’enfants intoxiqués ainsi que de leurs avocats.
C’est à lui qu’on doit l’abolition de la peine de mort, grâce à qui des Salah Abdeslam, dont la détention coûte 500 000 € par an, et des Nordahl Lelandais, peuvent couler des jours paisibles en prison, à jouer au baby-foot, au karting ou à faire du trafic de drogue.
Badinter avait déclaré le 11 novembre 2006 qu’il fit « condamner en 1981 Robert Faurisson pour être un faussaire de l’histoire ». Ce dernier porta plainte et dans son jugement rendu le 21 mai 2007, le Tribunal de la XVIIe chambre correctionnelle de Paris prononça : « Il convient […] de constater que le défendeur [R. Badinter] a échoué en son offre de preuve. », euphémisme pour dire qu’il avait menti…Voir l’article détaillé sur le blog dédié à la mémoire du Professeur.
Robert Badinter avait aussi déclaré en 2008 qu’il aurait rêvé de défendre Herschel Grynspan, ce juif allemand qui avait tué en novembre 1938 l’attaché d’ambassade d’Allemagne à Paris Ernst vom Rath. Il aurait voulu plaider pour l’homme « qui tue pour une cause », celle des juifs en l’occurrence. Que Vom Rath n’ait jamais lui-même jamais commis de crime et ne méritait pas la mort, même aux yeux des juifs (il était surveillé par la Gestapo en tant qu’opposant au national-socialisme), n’est apparemment qu’un détail…C’est par ailleurs cet assassinat qui déclencha la vague de pogroms en Allemagne connue sous le nom de « Nuit de cristal », dont on omet généralement de rappeler l’origine.
Robert Badinter est à l’origine du centre de détention semi-ouvert de Mauzac, en Dordogne, où sont placés en majorité des auteurs de crimes à caractère sexuel. Les prisonniers peuvent circuler librement en journée dans le centre, constitué d’une vingtaine de pavillons d’un étage, conçus par des architectes qui ont aussi réalisé des camps de vacances, ce qui explique les surnoms reçus par le centre : « Club-med » ou « prison quatre-étoiles ». Sans surprise, en mars 2023, Philippe Dubois, l’auteur d’un double assassinat condamné à 28 ans de réclusion criminelle, s’est évadé pendant sa formation à la ferme-école dépendant de la prison, située en dehors de la zone sécurisée…
En 2008, Badinter dénonça le projet de loi prévoyant une peine de sûreté pour les pédophiles jugés toujours dangereux après avoir purgé leur peine, déclarant : « depuis la Révolution française, on va en prison pour des actes ou crimes qu’on a commis, pas pour ce qu’on est, pas au nom d’une dangerosité indiquée par des psychiatres. » La pédocriminalité était-elle à ses yeux une invention des psychiatres ?
Badinter voulait traduire Vladimir Poutine devant la Cour pénale internationale pour les crimes de guerre qui auraient été commis par les troupes russes en Ukraine. Evidemment, en bon propagandiste, il ne s’intéressa pas une seconde aux crimes de guerre éventuellement commis par les troupes ukrainiennes, alors que ceux-ci ont eu la main lourde au Dombass depuis 2014. C’était juste une façon pour lui de mobiliser l’opinion contre Poutine et de la préparer pour la prochaine guerre contre la Russie. Hélas pour lui, il est mort trop tôt pour voir arriver le Messie promis par cette guerre menée avec le sang des aryens.
Le génocide des Palestiniens commis par l’entité sioniste a aussi laissé sans voix ce grand bavard. Comme l’écrit Tribune juive, « il restait un soutien à jamais du pays qualifié comme pratiquant l’apartheid », déclarant : “Même si mon Frère a tort, c’est mon Frère”. Les Français étaient-ils pour lui des frères ?
L’autre engagement moins connu de Badinter, c’est son soutien sans faille au lobby LGBT. Il fit supprimer en 1982 la loi instaurée par l’Etat français en 1942 selon laquelle « quiconque a commis un acte impudique ou contre-nature avec un individu de son sexe mineur de 21 ans » était condamnable à une peine de prison pouvant aller jusqu’à trois ans. Nous voyons l’aboutissement aujourd’hui de cette politique : des mineurs qui suivent des « réassignations de genre », c’est-à-dire la mutilation chirurgicale ou médicamenteuse, sous les yeux énamourés de prédateurs uraniens.
Gageons qu’après tant de méfaits la carcasse de ce malfaiteur levantin atterrira au Panthéon, qu’Alain Soral avait jadis qualifié de « déchetterie casher ».
Laissons le mot de la fin à son épouse, Elisabeth Badinter, héritière de l’empire de la publicité Publicis (qui nous noie sous la propagande pour le métissage) et autorité morale républicaine comme son mari :
« Le lien érotique entre la mère et l’enfant ne se limite pas aux satisfactions orales. C’est elle, qui, par ses soins, éveille toute la sensualité, l’initie au plaisir, et lui apprend à aimer son corps. La bonne mère est naturellement incestueuse et pédophile. » (In XY de l’identité masculine, 1992 Éditions Odile Jacob)
Article co-écrit avec Gaston
Avec Simone Veil, la société a instauré la peine de mort pour les véritables innocents : les enfants à naître. Puis, grâce à Badinter, cette même peine a été abolie… mais seulement pour les criminels.
Voici les héros de cette République… https://t.co/0jcegPMF5r
— Les Nationalistes (@nationalistesfr) October 7, 2025
Certes, ce qui constitue l’essence ou la forme de la Société europeenne depuis, exactement, les deux « Nuremberg » du plus grand lanceur d’alerte, Maurice Bardeche, l’essence ou forme substantiellement unie a quelque corps social et politique deficient, distinguable seulement in intellectu et non in re (dans les choses elle-memes, y ompris les etres) tient a cette formule quasiment « mathematique » : Faire mourir tout ce qui n’aspire qu’a vivre… avec les difficultes relles comme existentielles que cela suppose; faire vivre, sans restriction en matiere de couts et de nuisances collectives, tout ce qui, manifestement (de par le comportement, les vices (par ex. des addictions mortelles… toutes » medicalisees » puisque generations des profits…), ne tend qu’a mourir. Une formule qui resume aussi, a elle seule, le « liberalisme »… avec des degats difficilement remissibles, embrassant toute la nature, et non seulement humaine, mais simplement vitale!
Robert Bessarabien, grand Liberaux, parfaits tr’humanistes comme trucidant… non pas en se salissant les mains, mais en s’elevant en conscience, dignes hotes d’un Pantheon rendu digne, enfin, de sa mission premiere : honorer sempiternellement la memoire de ceux qui auront servi « effectivement » l’ideologie, ou le « in », et non le « out », du fond de l’air ambiant. Pardon pour leurs victimes…