Cette ONG « incitait à la haine, entretenait des relations au sein de la mouvance islamiste radicale, se complaisait à justifier des actes terroristes », a fait valoir le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin.
L’association BarakaCity a été dissoute ce mercredi 28 octobre en Conseil des ministres, accusée par le gouvernement de « relations au sein de la mouvance islamiste radicale » et de « se complaire à justifier des actes terroristes », a annoncé Gérald Darmanin dans un tweet. Le décret prononçant la dissolution de BarakaCity lui reproche de propager « des idées prônant l’islamisme radical ». « Par l’intermédiaire du compte personnel Twitter de son président ainsi que des comptes Facebook et Twitter de l’association, elle diffuse et invite à la diffusion d’idées haineuses, discriminatoires et violentes », poursuit le décret.
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« La France ne renoncera jamais » malgré les « tentatives de déstabilisation », a réagit auprès de l’AFP le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal. « Cette association et son président-fondateur, derrière un paravent humanitaire, diffusaient antisémitisme, menaces de mort et apologie de crimes contre l’humanité », a-t-il ajouté auprès des journalistes de BFMTV.
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