Maîtrise du français, comportement, condition physique… L’Ile-de-France est la région accueillant le plus de recrues et qui sont, souvent, les moins bien classées dans les concours de police. Des formateurs tirent la sonnette d’alarme.
Le Parisien nous dresse un tableau sombre (sombre à plus d’un titre, comme souvent en région parisienne) de la police francilienne.
Les nouvelles recrues policières qui exercent en Ile-de-France sont-elles toutes au niveau exigé par la profession ? « Le niveau baisse », s’alarment des membres de jury de concours et des formateurs que nous avons interrogés.
Régulièrement modifiées, les grilles d’évaluation ont été revues à la baisse ces dernières années pour éviter les notes éliminatoires durant la formation des futurs gardiens de la paix. Lors de leurs examens, les policiers peuvent désormais oublier une signature ou la date sur un procès-verbal et ne perdre que quelques points. « Pourtant, c’est une erreur qui entraîne la nullité d’une procédure. Avant, c’était synonyme d’un zéro », constate un membre du jury du concours, aussi enseignant lors de la formation, qui nous a fait part de son expérience.
Nous critiquons souvent, et à juste titre, la justice rouge et fortement féminisée qui ruine le travail des policiers en faisant preuve d’un laxisme inouïe, mais il ne faut pas oublier aussi l’amateurisme d’un nombre croissant de policiers qui rend caduque les procédures.
Ce nivellement par le bas des reçus au concours national se répercute directement sur le terrain en Ile-de-France. Car, pour compenser les nombreuses mutations de policiers aguerris quittant la région parisienne, attirés par le cadre de vie et le prix de l’immobilier de la province, plusieurs centaines de ces nouvelles recrues sont affectées chaque année dans la capitale et sa banlieue. « Et ceux qui arrivent dans les commissariats franciliens sont généralement dans les derniers de leur promotion. Beaucoup de candidats sont en effet des provinciaux qui préfèrent rester près de chez eux lorsqu’ils le peuvent, c’est-à-dire quand ils sont bien classés et peuvent choisir leur poste », reconnaît un cadre du ministère de l’Intérieur.
Les policiers « aguerris » quittent donc cette magnifique région emprunte d’épices et de soleil. Notez qu’à aucun moment il n’est fait mention de l’enfer racial qu’est devenu une grande partie de l’Ile de France. Enfer dont est conscient le pouvoir puisque l’indemnité « de fidélisation en secteur difficile » accordées aux « fonctionnaires actifs de la police nationale » est majorée en Ile de France. En effet, le décret n°99-1055 du 15 décembre 1999 précise dans son article 1er que « Le montant de l’indemnité de fidélisation est majoré forfaitairement pour les fonctionnaires actifs de la police nationale affectés en Ile-de-France .. ». Je ne critique pas cette mesure, il est normal d’avoir une compensation financière lors d’un déploiement à l’étranger. Les policiers qui œuvrent en Ile de France, au même titre que les militaires en OPEX, sont en territoire étranger.
« Chaque année, entre la moitié et les deux tiers des postes à pourvoir au concours sont situés en région parisienne », affirme, chiffres à l’appui, un responsable de la Direction générale de la police nationale.
Crise de vocation ? Même pas. Besoin pressant d’effectifs surtout. En 2012, près d’un candidat sur 50 était reçu au concours de gardien de la paix. Mais dès 2013, ce ratio est tombé à près d’un sur cinq. Car près de dix fois plus de postes ont été ouverts pour un nombre de postulants sensiblement égal.
Et ce constat est toujours en vigueur : en 2020, 19546 candidats se sont inscrits en France pour 3631 postes. « Avec un tel ratio, il ne faut pas s’attendre à faire un réel tri », soupire un juré. En un an, entre 2018 et 2019, la note moyenne pour les candidats externes a baissé de près d’un point (12,69/20 à 11,43/20). « Et encore, cette moyenne générale est compensée par les très bonnes notes des candidats surdiplômés que l’on voit arriver depuis peu, note un formateur. Maintenant, c’est près de 20 % des inscrits. »
Un rapport du Sénat de novembre 2019 pointe ce problème. Il « s’inquiète de la capacité des forces de sécurité à réaliser, au cours des prochains exercices, les schémas d’emplois prévus (NDLR : les recrutements) sans abaisser de manière trop importante la qualité du recrutement ». « Si les viviers de recrutement venaient à ne pas être suffisamment renouvelés d’ici la fin du quinquennat, il importerait que soient réexaminés les objectifs annuels de créations de postes afin de ne pas abaisser irraisonnablement le niveau des incorporations en école », est-il écrit dans ce rapport.
Auditionné le 26 novembre 2020 par la Commission d’enquête relative à l’état des lieux, de la déontologie, les pratiques et les doctrines de maintien de l’ordre, l’ancien directeur général de la police nationale, Frédéric Péchenard, vantait encore récemment les mérites des forces de l’ordre : « Nous avons en France une police et une gendarmerie formidables, exceptionnelles, avec un très haut niveau de recrutement, de formation et de déontologie ».
Monsieur Péchenard ne semble pas voir que la police française, reconnue dans le monde entier pour son savoir-faire notamment en maintien de l’ordre, est en train de perdre de sa superbe.
« Le niveau des moins bons admis n’a fait que baisser au fil des années, soupire un membre du jury. On doit honorer la commande, il manque des effectifs dans beaucoup de commissariats… Et Emmanuel Macron a promis 10000 agents durant son mandat ( NDLR : en incluant aussi les gendarmes ). On va y parvenir, mais à quel prix… »
Les derniers de la liste des reçus n’ont pas toutes les qualités requises pour exercer ce métier selon les jurys que nous avons interrogés. « Il y a encore cinq ou six ans, on n’aurait pas pris en dessous de 9/20, depuis deux ans on descend à 7 ou 8/20, assure un autre formateur. 12 c’est déjà très moyen, alors 7… C’est du niveau collège. »
«Ils perdent facilement leurs moyens et deviennent agressifs dans une discussion»
Selon les formateurs, la maîtrise de la langue et de l’écrit est particulièrement préoccupante. « Sur l’orthographe, ça concerne deux ou trois candidats sur une classe de 35, mais quelquefois on est à la limite du phonétique », assènent deux formateurs. Ces manques se retrouvent aussi à l’oral. « Une part des stagiaires ne sait pas s’exprimer clairement, appuie un troisième formateur. Ils perdent facilement leurs moyens et deviennent agressifs dans une discussion car ils n’ont pas le langage suffisant pour argumenter. »
Des analphabètes en uniforme ont donc la charge de contrôler et de faire appliquer la loi qu’ils sont incapables de lire et de comprendre. D’ailleurs, à aucun moment l’africanisation et la tiers-mondisation des effectifs ne sont évoquées dans les causes de la décrépitude de la police.
Sur le plan du comportement aussi les formateurs s’alarment. « Il y a un problème d’implication, on tombe parmi les élèves sur de jeunes adultes qui sortent pour la première fois du cocon familial, souffle un formateur. Et quand ils n’aiment pas un domaine ou ne le maîtrisent pas, ils abandonnent. » Certains élèves se rendent compte aussi qu’ils ne seront pas dans les premiers et seront affectés certainement en Ile-de-France. « Ça leur fait peur, ils lâchent prise et ne se projettent pas dans leur métier », relate un troisième, qui veut tout de même rester positif : « Il reste heureusement des élèves super motivés, brillants ou pas, mais qui se fichent de leur classement pour l’affectation et cherchent juste à apprendre et comprendre. »
Plus surprenant, le niveau sportif aussi est décevant. Selon ces formateurs, des candidats contournent les épreuves physiques du concours, notamment les ADS en interne, qui présentent un certificat médical justifiant une blessure. « Il y a même des faux », assure un formateur également juré. « Et sur le test d’endurance exigé, des stagiaires affichent des performances en deçà de la moyenne d’un ado en classe de 6e, lâche un formateur. Ils devraient être inaptes et malgré cela, ils sont aujourd’hui policiers. »
Loin des clichés de films d’action, la police ressemble de plus en plus à une troupe de gymnastes qualifiée pour les jeux paralympiques. On comprend mieux pourquoi les représentants du désordre républicain détalent souvent lâchement sous les projectiles des racailles ethniques.
« On a de plus en plus de stagiaires en surpoids, renchérit un autre. Et quand on aborde les exercices de maîtrise d’un individu lors d’une interpellation, certains se mettent en danger par manque d’entraînement physique. Des contrôles peuvent déraper à cause de ça. »
Et les carences du concours ne sont pas rattrapées durant la formation offerte aux lauréats. « On a même réduit la formation théorique de douze mois à huit mois, cela permet de gagner une ou deux promotions sur un quinquennat, avancent deux formateurs. Ça défie toutes les règles pédagogiques, il n’y a plus de qualité d’apprentissage. »
Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a lui-même reconnu début décembre devant l’Assemblée nationale « une erreur fondamentale », celle d’avoir raccourci les délais de formation depuis juin, de douze à huit mois, pour que les élèves gardiens de la paix soient au plus vite opérationnels. « Ce n’était pas un bon calcul », a admis le ministre.
Sur la promotion 2020, plusieurs signalements ont été remontés par les formateurs. « Près de 150 stagiaires n’avaient ni le niveau d’implication, ni le bagage physique, technique ou intellectuel pour devenir policier », avance un cadre de la formation. Pourtant, seulement huit exclusions et deux redoublements ont été enregistrés. Douze futurs gardiens de la paix doivent encore passer devant la commission de discipline.
« On aimerait qu’un candidat qui ne nous satisfait pas ne puisse pas devenir policier. Mais la formation coûte cher à l’Etat, alors pour refuser un élève, il faut vraiment que son cas soit gratiné », confie un formateur. « Sur les dernières promotions, des élèves ayant commis des délits ont même été admis », assure un autre.
C’est ce qu’on appelle la « harponisation » (Cf le terroriste Mikaël Harpon) des forces de l’ordre. La présence de délinquants dans la police ravira ceux de chez nous qui se voient refuser l’entrée dans la police, la gendarmerie ou l’armée en raison de leur seul militantisme.
« Le jury reste souverain mais, alors que j’applique les grilles d’évaluation, on me dit que je suis trop sévère », appuie un troisième, qui rappelle que désormais « les fautes d’orthographe ne font plus perdre de points ». Ces formateurs sont même incités à se montrer cléments : « On doit s’expliquer quand on met de mauvaises notes. Indirectement, si on ne veut pas avoir de compte à rendre, il vaut mieux fermer les yeux, cela évite d’avoir des problèmes. »
De toute façon, la plupart des recalés à l’issue de la formation ayant effectué un recours au tribunal administratif ont obtenu gain de cause et été réintégrés. « Ils ont réussi le concours, ils sont donc en position de force. Notre administration protège, c’est bien, mais parfois trop », admet un officier de la Direction générale. « L’objectif, c’est de les convaincre qu’ils ne sont pas faits pour ça, qu’ils vont se mettre en danger eux, leurs collègues et la population, reprend un autre formateur. Pour qu’ils ne s’accrochent pas en faisant appel. »
Au vu de la situation, la question du désarmement de la police m’apparait de moins en moins saugrenue. Le remplacement des armes à feu par des pistolets à eau doit être mis à l’étude.
Oscar Walter
Monsieur Oscar Walter
Vous déplorez que l’Ile-de-France soit la région accueillant le plus de recrues que l’on désignera comme « dernier de la classe » car souvent, les moins bien classées dans les concours de police à cause de leur pâle maîtrise du français, leur comportement, leur condition physique. Je vous répondrai que c’est une chose logique de voir la région la moins attractive pour y exercer le métier de policier être choisie par les derniers du classement. Car en effet comme dans tous les métiers à concours les derniers à choisir n’ont plus le choix. C’est la région Ile de France, celle que personne ne veut, qui choisit les policiers et non plus eux qui la choisissent.
« Le niveau baisse » ? Il ne faut pas se focaliser sur la police car c’est le cas dans toutes les institutions. Cela commence par la baisse du niveau scolaire puis cela se répercute dans le marché du travail plus tard logiquement. Je vous accorde que le mépris envers les policiers (le titre de votre article en est un exemple) accentue le manque de vocations parmi ceux qui pourraient postuler légitimement. Concernant le niveau des recrues, voyez celui des conseillers financiers, des postiers, des enseignants, des médecins, des politiques, des élus… Il baisse partout. La police est impactée comme tous les métiers. Les grilles d’évaluation ont été revues à la baisse ? C’est pareil partout. Un jeune BAC + 2 d’aujourd’hui a le niveau du certificat d’étude d’antan.
Vous déplorez le fait que des policiers aguerris bénéficient de mutations leur permettant de quitter la région parisienne. Ils ont donné au purgatoire le nombre d’année qu’il fallait et il est normal qu’il puisse en contrepartie jouir du cadre de vie et des prix de l’immobilier de la province le moment venu. Bien souvent ils sont freinés dans leur demande et il leur faut parfois emmener leur dossier sur le domaine du social pour obtenir gain de cause.
Vous déplorez que les provinciaux bien classés choisissent de rester « chez eux ». Ils ont fait le nécessaire et c’est normal que ceux qui sortent du lot en trouve un avantage. On pourrait les obliger à aller en RP mais on en perdrait alors au moins la moitié car ils ne seraient plus candidats. S’ils voulaient plus de mobilité ils se seraient orienté sur un autre job, comme une carrière militaire par exemple. Commençons par obliger les nouveaux médecins à s’installer dans la Creuse ou le Cantal plutôt que de les laisser aller en PACA, et on en reparle.
L’indemnité de fidélisation incitant les policiers à se faire affecter en Ile-de-France est un gag vu le coût de la vie et le sentiment de ne plus être dans son pays. Seules les recrues immigrées se sentent dans leur pays en RP. Avoir à commander ce genre de recrues est un casse-tête chinois pour les chefs et avoir à travailler avec ce type de recrues c’est avaler des couleuvres toute l’année en les voyant bénéficiers de la discriminations positive tout en crachant sur la France. Beaucoup sont là pour gangrener le système et l’argent facile (les salaires ne sont pas si mauvais). Vous avez raison de mettre en avant l’africanisation et la tiers-mondisation des effectifs comme étant responsables de la décrépitude de la police.
Le besoin pressant d’effectifs fait que l’état n’a pas le choix et il doit baisser le niveau pour recruter et raccourcir les périodes de formations pour injecter les recrues en unités au plus vite. C’est la faute à tous ces gouvernements qui pensant que l’utilité de la police était secondaire et qui ont fait fondre les effectifs. Même en injectant au plus vite les recrues sur le terrain cela ne suffit pas car beaucoup démissionnent, sont virés, ou prennent la retraite.
Certains sont d’accord pour toucher le salaire mais n’ont pas trop envie de bosser pour cela. Mais là encore il ne faut pas stigmatiser que la police. On a vu par exemple que dans le milieu médical beaucoup de personnes ont démissionnées dès l’accalmie de l’épidémie covid 19. Bosser, être payé, ok. Mais être esclave non merci.
Le bas de la hiérarchie n’est pas le seul impacté, l’encadrement est également touché. Au vu de la qualité des recrutements, beaucoup d’éléments de valeurs n’ont plus trop envie non plus d’accéder aux responsabilités tant il est devenu compliqué de commander des gens qui n’ont en tête que leurs droits en oubliant leurs devoirs. Et que dire de tous ces artifices que sont « stop discri » et qui tétanisent les chefs. Lorsque refuser un repos à un subordonné noir de peau devient du racisme il n’est plus possible de commander. Pour info le concours permettant à des sous-officiers de la gendarmerie de devenir officiers offre chaque année plus de poste que de candidats.
Les écoles tournent à plein régime et cela ne suffit pas. Les politiques savent qu’il est techniquement impossible de remettre à niveau la police mais ils tentent de nous convaincre que c’est techniquement possible grâce à des effets d’annonces.
On se gargarise de voir nos forces de l’ordre maintenir le cap sans trop de bavures, de déjouer des attentats terroristes. Mais c’est l’arbre qui cache la forêt. En 2015, tous les moyens étaient sur le terrain. C’était beau, c’était efficace, c’était rassurant. On a même applaudi. Mais en cas d’attaques terroristes coordonnées multiples et durables la France ne pourrait pas faire face. En cas d’émeutes généralisées non plus. Il n’existe pas les effectifs et la qualité n’existe pas suffisamment chez eux.
Nous avons de la chance que les terroristes islamistes sont des débiles incapables de se discipliner et de se fédérer. S’ils le faisaient à minima, ils mettraient la France à genoux.
Je termine avec le fait que « Des analphabètes en uniforme ont donc la charge de contrôler et de faire appliquer la loi qu’ils sont incapables de lire et de comprendre ». Au risque de choquer cela n’est pas toujours nécessaire si les chefs et les ordres qu’ils donnent sont bons. Ce n’est plus le cas partout et il est devenu difficile de se faire obéir.
Vous avez raison de dénoncer le niveau sportif aussi très décevant. Les candidats étaient déjà des ados qui ne faisaient jamais de sport, ils arrivent donc aux épreuves pas du tout entrainés. Prenez des anciens policiers et des jeunes recrues et faites-leur faire un footing, les jeunes seront incapables de suivre les ainés.
Je vous rassure, les forces spéciales militaires, le RAID et le GIGN ne sont pas touchés par ces comorbidités de la compétence. Ce sont des gens qui sont des passionnés et il n’est pas utile de les pousser à s’entrainer et à s’entretenir.
Les adjoints de sécurité de la police et les gendarmes adjoint volontaires échouent aux épreuves physiques des concours de gardien de la paix et de sous-officier tellement ils sont inaptes au sport. Du coup le recrutement se prive de ces personnels déjà en partie formés et familiarisés au port de l’arme.
Il est quasiment impossible pour un chef de faire virer un élément qui ne fait pas l’affaire. Il faut vraiment qu’il soit un criminel. Il est tellement plus simple de dire à un chef qu’il ne sait pas encadrer plutôt que de lui confier des gens à la hauteur
Vous terminez en posant la question du désarmement de la police. Vous plaisantez en disant que le remplacement des armes à feu par des pistolets à eau doit être mis à l’étude. Vous ne croyez pas si bien dire, parfois c’est l’impression que cela donne lorsque les forces de l’ordre se présentent devant des individus munis d’armes de guerre avec leur seul pistolet.
Je pense qu’au contraire il faut laisser armés ses policiers incompétents à maitriser leurs nerfs et leurs armes. C’est cela qui va réinstaller la crainte de l’uniforme. Aujourd’hui une racaille peut provoquer un policier car elle sait qu’il est tenu de se contrôler. La racaille se sent invulnérable. Imaginez la même racaille, consciente que le policier qui est là, est aussi barjot qu’elle, qu’il peut peter un câble et vider son chargeur sur elle. Croyez-moi il va réfléchir à deux fois avant de bousculer ou insulter le flic.
La vraie question à se poser c’est celle de l’armement des civils. Les citoyens doivent pouvoir se défendre eux même et ne plus avoir à compter sur la police.
La police de grand-papa vous ne la verrez plus jamais, le vers est dans le fruit. C’est valable aussi pour les gendarmes et les autres militaires.
Cordialement, Chris
On peut craindre que dans trente ans, la police , la gendarmerie et l’armée ne soient plus que des milices musulmanes .
Je pense plutôt que les drones et les logiciels vont venir pallier cette baisse de Qi.
Heureusement, je préfère confier un flingue à un drone programmé par des responsables, plutôt qu’à des « musulmans ».