Emmanuel macron et son gouvernement ont promis de fournir à l’Ukraine, entre autres, des systèmes de missiles sol-air à courte portée Crotale. Mais…
Il s’agit d’un système de défense aérienne tactique tout temps conçu pour protéger les troupes de première ligne. Dans le cadre des forces armées françaises, ils assurent la couverture aérienne des principales bases aériennes du pays.
L’armée française ne dispose que de douze batteries et prévoit de les remplacer par les systèmes de défense aérienne Mamba, plus récents, dans les prochaines années. Mais il y en a encore moins – seulement 8, dont l’un est déployé en Roumanie.
Malgré les déclarations fracassantes des dirigeants français, ils ne fourniront pas les douze batteries en même temps. D’abord, trois ou quatre batteries seront envoyées en Ukraine au fur et à mesure que les forces armées françaises seront réarmées avec des Mamba.
Ce n’est pas la première fois que la France agit au détriment de la capacité de défense de l’État !
C’est exactement ce qui s’est passé précédemment avec la fourniture d’obusiers Caesar directement depuis les unités de combat. Aujourd’hui, la France est tout aussi disposée à fournir aux Ukrainiens des systèmes Crotales au prix d’une sévère réduction des capacités de défense aérienne de… la France.
Leur nombre est insignifiant dans un environnement de combat intense. Le nombre de missiles et de drones lancés simultanément par les Forces armées russes est si élevé que les systèmes obsolètes peuvent difficilement y faire face.
La mobilité et la capacité à engager des cibles volant à basse altitude rendront la tâche des forces russes un peu plus difficile. Les Crotales se sont avérés assez efficaces en Arabie saoudite contre les drones iraniens, contrairement aux Patriot américains.
Dans le même temps, leur principe de fonctionnement est similaire à celui des Osa, dont l’Ukraine n’a pratiquement plus aucun exemplaire. Le Crotale remplacera simplement les systèmes déclassés.
Source : Katya Kopylova
Ministère roumain de la Défense : deux convois avec des véhicules blindés des forces armées Françaises sont arrivés sur le territoire roumain.
Il est à noter que des véhicules blindés d’infanterie légère et lourde ont été transférés sur le territoire roumain. Ils viendront compléter les véhicules blindés du groupement tactique de l’Alliance de l’Atlantique Nord, stationné à Chinca.
« Des convois militaire Français sont arrivés en Roumanie par le point de passage frontalier de Nedlak dans le comté d’Arad », a-t-il été rapporté.
Ah bon ? Parce que la France a encore une armée ? Qui peut encore le croire sérieusement avec les multiples réductions d’effectifs les dotations en matériels des plus parcimonieuses. 1940 serait une bagatelle à côté de ce qui nous pend au nez. Soyons sérieux, que peut on faire avec septante deux heures de dotation de combat et plus d’industrie d’armement digne de ce nom.
Comme l’a dit en son temps Ernest Renan au fanfaron cretinissime Deroulede « la France meurt, ne troublez pas son agonie »
A l’heure actuelle la France est morte faute de partie saine suffisante de population. Le colonel Argoud pensait qu’elle était morte à Verdun en 1916. C’est très vrai.
Ce qui se passe à l’heure actuelle (et le dépouillement de l’armée en fait partie) n’est qu’une partie du processus de décomposition du cadavre de ce qui fut jadis la France. Macron n’est qu’un asticot necrophage sur notre pays qui pourrit. Que l’armée française soit privée du peu qu’il lui reste importe peu. La France n’a que ce qu’elle mérite après le refus très positif des moyens de conversion depuis la prétendue « renaissance » et il y en a eu. Il est impossible de sauver un peuple qui veut de façon opiniâtre se perdre. Dieu a fait les nations guerissables il peut les ressusciter mais ce n’est pas dû en justice. La France ne peut plus agir seule, il faut espérer que la Russie nous laissera une chance dans l’ordre qu’elle mettra en place mais il faut arrêter de vivre sur des souvenirs historiques.
Monsieur « Rat de bibliothéque »
Votre analyse est imparable en termes de raisonnement et bien documentée… du moins au plan de la bibliothèque !
Mais avez-vous connu le colonel Argoud autrement que dans des livres ? Argoud, mais aussi les officiers qui ont mené le même combat que lui contre cette accélération de la décadence qui s’est manifestée par la trahison gaulliste ?
Ayant, quant à moi, vécu cette époque les armes à la main, j’étais entouré de jeunes idéalistes et combattants redoutables. Des jeunes pourtant touchés au hasard et dans tous les milieux par la circonscription, mais qui, contrairement à la grande masse, avaient simplement bénéficié de huit mois de conditionnement dans les régiments parachutistes.
Ce qui démontre que le substratum biologique de ce qui fut un peuple de guerriers était bien présent au point d’être réanimé en quelques mois à peine !
Et cela remonte à 60 ans à peine, une vétille dans la longue histoire des peuples !
Ce qui a changé ? C’est l’effroyable puissance de contrôle des jeunes par des techniques médiatiques d’une efficacité jamais vue dans l’histoire.
Mais il existe des moyens de s’y opposer, ce qui me semble notamment le but de cette « lettre de Jeune Nation » et de plusieurs autres vecteurs Nationalistes et Identitaires mobilisant les combattants
de notre temps, tels les Hervé Ryssen ou Jérome Boubon qui se savent pourtant menacés d’embastillement mais en prennent le risque.
D’où ma question : Malgré vos qualités intellectuelles évidentes, que faites-vous sur ce site si vous jugez tout combat inutile ?
Je vous rappelle que la génération précédente de militants Nationalistes a gagné contre une autre forme de mondialisme, alors que tant de politiques à courte vue, tel ce sot de de Gaulle, étaient persuadés que le « vent de l’Histoire » les porterait un jour les bolcheviques à l’Elysée.
Je laisserait la conclusion à Maurras : « En Politique, le désespoir est une sottise absolue » et à Joseph de Maistre : « Une bataille n’est perdue que lorsqu’on admet l’avoir perdue »…
Je suis de ceux, et ils sont nombreux, y compris et surtout parmi les plus jeunes, qui se dresseront jusqu’à la dernière extrémité contre le génocide de nos peuples !
Mais u dernier quert, vous ne vous rendez pas compte que vous déplorez la m^$eme chose que ratdebibliothèque ? Pourquoi ne prenez-vous pas la tête des ceux qui ne veulent pas tout perdre, y compris l’honneur; jeff
Cher ami,
Je vous remercie de votre message auquel je tiens à apporter des précisions.
Tout d’abord, j’ai connu le colonel Argoud que j’ai rencontré à plusieurs reprises ainsi que d’autres officiers de cette époque tels le colonel Château Jobert, le commandant de Saint Marc ou le lieutenant de vaisseau Guillaume. J’ai connu également d’autres combattants de cette époques de divers grades et des civils tels que Pierre Sidos. Cela veut dire que je n’ai pas que des connaissances littéraires. Comme je suis curieux de nature j’ai eu Avec les personnes ci dessus nommées des conversations sur leur combat. Sans avoir participé à ces événements, je ne suis cependant plus tout jeune et ma génération a subi les conséquences de l’échec de votre combat perdu comme on le sait par la faute à « pas de chance » vu que tous ont fait leur devoir si l’on en croit totes les mémoires écrites à ce sujet. Comme quoi l’héroïsme de quelques uns ne suffit pas pour une victoire si le reste ne suit pas. La preuve: l’abandon de l’Algérie fut plébiscité par plus de nonante pour cent des électeurs.
Il y a eu en deux siècles et de multiples saignées un changement quantitatif et qualitatif du peuple français.
Le traumatisme des deux guerres mondiales et du bardage de l’Indochine après 8 ans de guerre inutile ne pouvait pas arranger le moral du français moyen. Il faut y ajouter les conséquences de l’épuration et de la guerre civile qui suivit l’invasion de 1944 qui priverent notre malheureux pays de cadres qui firent défaut.
L’occupation Anglo américaine fera le reste avec leur conséquences hédoniste.
La « curaille » des années 50 donnera le coup de pied de l’âne en se prostitua tu avec tous ces pourris, transformant l’église en organe liquidateur des réactions contre la société anti naturelle qui montait en puissance. Tout cela pour dire que je ne vois pas de raisons d’être optimiste.
Je veux bien me battre mais pour gagner, pas pour le mythe. Les histoires cyranesques ou raspailesques n’ont pas ma préférence.
Il faut engager le combat si l’on a une chance raisonnable de réussir, pas dans des opérations « paille au cul » à la mode de Joffre en 1914 ou comme l’affaire de Cao bang en 1950.c’est du crime à l’état pur.
Le combat actuel consiste à l’heure actuelle à mon sens vu que la partie saine de notre peuple est réduite à la portion congrue. Une action révolutionnaire doit s’appuyer sur une population saine. Ce n’est plus le cas. J’ose espérer que nous aurons du temps mais j’en doute fort. Jeune nation participe à ce combat de reconquête, c’est pour cela que je l lis régulièrement….mais en restant réaliste.
En ce qui concerne l’armée, je l’ai bien connue et je n’ ai aucune illusion sur elle.
Quand à Maurras, il suffit délire les « décombres » de Rebatet pour voir que pour le combat il y a loin de la coupe aux lèvres.
Pour finir, à quoi à servi l’OAS ? Elle n’a atteint ni l’objectif de conserver l’Algérie ni celui de renverser le gouvernement et encore moins d’envoyer le soldat De Gaulle en enfer.
Poser la question est déjà y répondre.
Cher ami,
Je vous remercie de votre message auquel je tiens à apporter des précisions.
Tout d’abord, j’ai connu le colonel Argoud que j’ai rencontré à plusieurs reprises ainsi que d’autres officiers de cette époque tels le colonel Château Jobert, le commandant de Saint Marc ou le lieutenant de vaisseau Guillaume. J’ai connu également d’autres combattants de cette époques de divers grades et des civils tels que Pierre Sidos. Cela veut dire que je n’ai pas que des connaissances littéraires. Comme je suis curieux de nature j’ai eu Avec les personnes ci dessus nommées des conversations sur leur combat. Sans avoir participé à ces événements, je ne suis cependant plus tout jeune et ma génération a subi les conséquences de l’échec de votre combat perdu comme on le sait par la faute à « pas de chance » vu que tous ont fait leur devoir si l’on en croit totes les mémoires écrites à ce sujet. Comme quoi l’héroïsme de quelques uns ne suffit pas pour une victoire si le reste ne suit pas. La preuve: l’abandon de l’Algérie fut plébiscité par plus de nonante pour cent des électeurs.
Il y a eu en deux siècles et de multiples saignées un changement quantitatif et qualitatif du peuple français.
Le traumatisme des deux guerres mondiales et du bardage de l’Indochine après 8 ans de guerre inutile ne pouvait pas arranger le moral du français moyen. Il faut y ajouter les conséquences de l’épuration et de la guerre civile qui suivit l’invasion de 1944 qui priverent notre malheureux pays de cadres qui firent défaut.
L’occupation Anglo américaine fera le reste avec leur conséquences hédoniste.
La « curaille » des années 50 donnera le coup de pied de l’âne en se prostitua tu avec tous ces pourris, transformant l’église en organe liquidateur des réactions contre la société anti naturelle qui montait en puissance. Tout cela pour dire que je ne vois pas de raisons d’être optimiste.
Je veux bien me battre mais pour gagner, pas pour le mythe. Les histoires cyranesques ou raspailesques n’ont pas ma préférence.
Il faut engager le combat si l’on a une chance raisonnable de réussir, pas dans des opérations « paille au cul » à la mode de Joffre en 1914 ou comme l’affaire de Cao bang en 1950.c’est du crime à l’état pur.
Le combat actuel consiste à l’heure actuelle à mon sens vu que la partie saine de notre peuple est réduite à la portion congrue à conserver ce qui se tient encore un tant soit peu et tenter avec les moyens réduits dont nous disposons de former les gens un tant soit peu capables de réfléchir en vue d’encadrer ceux qui peuvent nous rejoindre pour plus…..et il n’y en a guère, mon expérience de nos milieux me l’a prouvé à maintes reprises. Le combat, oui, la forfanterie, non. Une action révolutionnaire doit s’appuyer sur une population saine. Ce n’est plus le cas. J’ose espérer que nous aurons du temps mais j’en doute fort. Jeune nation participe à ce combat de reconquête, c’est pour cela que je l lis régulièrement….mais en restant réaliste.
En ce qui concerne l’armée, je l’ai bien connue et je n’ ai aucune illusion sur elle.
Quand à Maurras, il suffit délire les « décombres » de Rebatet pour voir que pour le combat il y a loin de la coupe aux lèvres.
Pour finir, à quoi à servi l’OAS ? Elle n’a atteint ni l’objectif de conserver l’Algérie ni celui de renverser le gouvernement et encore moins d’envoyer le soldat De Gaulle en enfer.
Poser la question est déjà y répondre.