La nouvelle normalité, c’est la gauche perpétuellement au pouvoir, Il n’y a pas à s’inquiéter, ce sont les médecins qui la prescrivent, c’est sur l’ordonnance : soumission contre liberté, collectivisme contre responsabilité individuelle, confinement général et masque obligatoire en attendant le vaccin pour tous, slogans débiles à la pelle, « je sauve des vies, je reste à la maison », « déconfinement je reste prudent », « il est 20 heures, j’applaudis au balcon », « je sors, je mets le masque ». Ce qu’on refuse de mettre sur l’ordonnance, par contre, c’est la chloroquine, évidemment, ce serait la fin de Covidescu.
La nouvelle normalité, c’est aussi une société sous la pression permanente de l’agitation de l’extrême gauche, le libre cours laissé aux émeutes du type de la révolution culturelle de Mao contre tout ce qui est tradition, c’est la guerre du nihilisme de mort contre la vie naturelle.
En Europe, les choses semblent figées et sans issue, mais aux États-Unis, le Covid devient la ligne de front de la campagne électorale. Biden compte plus sur le Covid que sur sa colistière pour compenser ses crises d’Alzheimer et l’emporter.
Problème pour Biden, son vrai colistier, le covid, est en train de s’affaiblir et du coup, il n’y a plus de vent dans les voiles de sa campagne, c’est le reflux brutal dans les sondages.
Durant les deux dernières semaines, les nouveaux cas de Covid ont plongé de 70%.
Si on regarde les statistiques des hospitalisations, voici ce que donnent les courbes par groupe d’âge, pour lire le graphique, noter que :
- l’axe vertical gauche donne le nombre des hospitalisations pour 100 000 pour les jeunes en dessous de 17 ans, deux courbes, la bleue pour les moins de 4 ans et la jaune pour les 4 à 17 ans.
- l’axe vertical droit donne le même nombre pour les plus de 17 ans, trois groupes, courbe rouge 18- 49, courbe verte, 50-64 et courbe grise + de 65 ans.
Horizontalement, c’est l’écoulement du temps indiqué par le numéro de la semaine.
Toutes les courbes tombent à zéro sauf celles des plus jeunes pour la bonne raison que leurs courbes d’hospitalisation à eux n’ont jamais décollé de zéro.
Que des bonnes nouvelles, sauf bien sûr pour le docteur Fauci (la Faucille du drapeau communiste?) qui continue de prophétiser que le retour à « une certaine forme de normalité » ne pourra pas intervenir avant fin 2021 au plus tôt.
En clair, si Biden gagne, on est parti pour un an ou plus de confinement à répétition.
Car Biden l’affirme il suivra les docteurs, pas seulement Fauci, mais aussi l’épidémiologiste Michael Osterholm de l’université du Minnesota, qui appelle à cor et à cri à un confinement rigoureux, état par état, qui idéalement devrait durer jusqu’à six semaines.
Osterholm, comme par hasard, est pressenti pour un poste important au sein de l’administration Biden. Forcément, il se doit d’éreinter tous les états républicains les « red states » ( aux USA, c’est la droite qui est rouge et la gauche bleue!) qui affirment que « certes il y a des risques, mais que la vie doit continuer ». En effet, de tels états sont autant d’exemple que les choses peuvent se dérouler différemment de ce qu’on nous dit, par exemple, que les décès et les hospitalisations ne sont pas plus nombreux sans confinement.
Au Kentucky, la vie sportive reprend normalement dans les écoles, notamment le football américain, au Texas, les écoles rouvrent leurs classes 5 jours par semaine, au Tennessee, on peut de nouveaux organiser des mariages, le Nebraska, est passé au niveau 4, ce qui signifie qu’il n’y a plus aucune restriction.
Tout ça bien sûr au grand dam de tous les médias gauchisants, grands prêtres de la panique. On peut voir des titres alarmistes comme « des professeurs décèdent du Covid », sauf qu’il n’y a aucune preuve que les professeurs aient contracté le virus en faisant cours.
S’il y a bien une chose qui fait enrager tout ce bon monde, ce sont les meetings de Trump en salle. Les gens y font la fête comme encore récemment au Nevada (état Démocrate).
Les médias dénoncent en chœur une gouvernance qui « tue des gens », regardez ces têtes de gauchos qui peinent héroïquement à contenir leur indignation vertueuse, leur consternation de devoir appartenir à la même espèce que Trump :
« La Maison-Blanche démontre sa piètre conception de la valeur de la vie humaine »
« ceux qui ne portent pas de masque témoignent d’une inconscience abyssale aussi égoïste qu’irresponsable ».
Des médias super-propagateurs … d’hypocrisie : pas un seul pour se plaindre des émeutes BLM sans masque et sans distanciation !
Mais les gouverneurs Républicains du Dakota du Sud et de Floride refusent de s’en laisser conter, même s’ils reconnaissent que le Covid est un risque, ils ne veulent plus entendre parler de confinement, tout simplement parce que le coût social, le poids que cela représente dans la vie de tous les jours, est insupportable.
De fait, le confinement n’a pas franchement fait ses preuves, il n’y a qu’à voir ce qui s’est passé en Europe où les courbes en cloche n’ont absolument pas été infléchies.
Par contre, le coût sur l’économie est certain, le prix à payer par les enfants dans les écoles, énorme, le poids sur le moral des individus, insoutenable.
La limitation pour une durée indéfinie des libertés individuelles est en outre inconstitutionnelle, la Cour de Pennsylvanie vient de juger en ce sens par un arrêt cinglant de 66 pages relevant toute une floppée de violations constitutionnelles, par exemple l’atteinte à la liberté de réunion édicté par le 1 amendement. Le juge a estimé que la Constitution ne saurait se plier à un concept de « nouvelle normalité » en vertu duquel les libertés fondamentales seraient indéfiniment subordonnées aux mesures d’urgence. De telles procédures pourraient être engagées dans d’autres blue states (états démocrates).
Les Américains commencent à comprendre que pour quelqu’un comme Biden, il ne sera jamais temps de rendre leur liberté aux gens, que s’ils veulent voir leurs grands-parents l’année prochaine, que leurs enfants aient une vraie remise de diplôme, s’ils veulent pouvoir assister à la messe de Pâques, il ne faut pas voter Biden.
Si Biden gagne, ils pressentent ce sera la loi des experts, et eux diront qu’il faut rester cloîtré tant qu’il n’y a pas de vaccin, ensuite, ce sera tant qu’il n’y aura pas de vaccin efficace, ensuite ce sera tant que tout le monde, volontaire ou pas, n’aura pas reçu ce vaccin.
Et ils voient les conséquences désastreuses :
des millions d’emplois définitivement perdus, toute l’Amérique à l’image de New York ou la Californie : des coupures de courant tournantes, des émeutes BLM ni réprimées, ni remises en cause.
Le choix en novembre devient clair : liberté ou confinement, force ou soumission, constitution ou chaos.