Le 1er avril 1944, les légionnaires survivants de la bataille de Tcherkassy, en tenue de combat, se rassemblent sur la Place de la Ville-Haute de Charleroi, où certains d’entre eux sont décorés par Sepp Dietrich, commandant le Ier SS-Panzer Korps. À bord de véhicules prêtés par la 12e SS Panzerdivision « Hitlerjugend », ils paradent ensuite à Bruxelles.
Triomphant, accompagné de ses jeunes enfants, Degrelle arbore un large sourire, juché sur un blindé, à la tête de ses hommes.
Ce défilé d’une unité de volontaires européens, en tenue de combat, dans sa patrie d’origine, est un événement unique en Europe occupée.
Hommage aux combattants de Tcherkassy prononcé le 18 mai 2000 sur la stèle commémorative :
Nous sommes réunis une fois de plus devant cette stèle pour honorer nos camarades tombés au combat et particulièrement ceux de la bataille de Tcherkassy. Un des faits d’armes remarquables de la 2e guerre mondiale.
Tous les militaires et historiens des guerres passées sont unanimes à reconnaître que la Kriegsmarine, la Luftwaffe, l’armée de terre et la SS ont accompli des faits d’armes rarement égalés dans l’histoire, efficacité engagement courage, esprit de sacrifice, abnégation, fidélité, toutes vertus militaires qui font les grandes nations.
Dans le monde moderne imposé par les vainqueurs, ces vertus n’ont plus cours. Elles ont fait place aux notions de profit, jouissance, individualisme sinon égoïsme, et soumission à une morale, dont nous avons du mal à imaginer les tenants et aboutissants et à des dogmes étrangers.
Aussi ne nous étonnons pas d’être diabolisés, et n’espérez pas avoir de la part des « vrais vainqueurs », la moindre estime, as plus que le droit du souvenir, sinon pour servir d’épouvantail.
Le progrès que les fous attendaient du XXe siècle celui des lumières, nous replonge au moyen-âge et au temps de l’inquisition: le politiquement correct. Reprenez donc le « livre », l’ancien testament, vous verrez que le dieu devant Clovis a courbé la tête, nous abomine parce que, nous n’appartenons pas au peuple qu’il a élu régner sur la terre, les cieux et les cieux des cieux.
Nous avons combattu dans l’esprit d’une civilisation en voie de destruction. Beaucoup d’entre nous n’ont pas compris les enjeux des deux dernières guerres, et persistent à crier à l’injustice. Mais aux yeux de nos vainqueurs cette injustice n’est que justice parce que nous sommes le mal absolu. Nous avons été pour certains, trop lucides, nous ne pouvons être que des savants. Pensez au sort des Sioux, comanches, Séminoles et autre indiens d’Amérique du nord.. il est celui qui nous est réservé a nous et nos descendants. Drogues, alcoolisme, prostitution, dans des ergastules ou les « bien-pensants » se précipitent au cri de vive la liberté.
Nous les prenions pour des fous, ces camarades qui nous disaient: » profite de la guerre, la paix sera terrible ». Hélas combien avaient ‘ils raison. Malgré la fatigue, la faim, la peur, le froid, la chaleur, les blessures, les poux, nous connaissions et apprécions cette légendaire camaraderie qui s’est fort rarement démentie, et qui perdure au cours de nos rencontres.
Qu’est-elle devenue dans cette société au chacun lutte, seul et qui si par malheur il est l’objet d’une défaillance, devient une proie pour les voisins. Il faut des journées comme celles qui nous allons vivre pour en savourer l’arrière-goût avant de nous replonger dans notre muette solitude.
Mais ne cédons pas au pessimisme. Si l’histoire ne sert jamais deux fois les mêmes plats, par contre elle connaît l’éternel retour de situations analogues. Elle connaît des revirements imprévisibles. Des empires que l’on pouvait croire invincibles se sont effondrés, et si certains nous disent « Les temps sont venus » répondons: c’est encore à voir.
L’histoire de l’humanité ne cessera qu’avec la disparition de l’homme. Un jour cette stèle comme beaucoup d’autres, que l’on pouvait croire oubliés dans les broussailles verrons des gens par centaines ou milliers venir raviver le souvenir de nos exploits. Hélas beaucoup, pour être en accord avec l’air du temps, comme ils le font pour célébrer la gloire des vainqueurs. Pour que cela soit, il faut passer le flambeau. Dans notre Europe exsangue occupée par des populations étrangères à sa culture, ils sont des milliers sinon des dizaines ou centaines de milliers, prêts à le recevoir, et entreprendre la reconquête.
La servitude, même si elle peut paraître longue n’est jamais éternelle. Un jour une volonté se lève et bouscule l’ordre établi.
Alors, Camarades tombés à Tcherkassy, partout ailleurs en Europe, en Afrique du Nord et dans les océans, vous verrez depuis le Walhalla, célébrer au grand jour votre gloire, et vos descendants, les nôtres aussi, être fiers d’avoir eu de tels ancêtres.
Le 18 Mai 2000
Nous sommes réunis une fois de plus devant cette stèle pour honorer nos camarades tombés au combat et particulièrement ceux de la bataille de Tcherkassy. .un des faits d’armes remarquables de la 2ème guerre mondiale.
Tous les militaires et historiens des guerres passées sont unanimes à reconnaître que la Kriegsmarine, la Luftwaffe, l’armée de terre et la SS ont accompli des faits d’armes rarement égalés dans l’histoire, efficacité engagement courage, esprit de sacrifice, abnégation, fidélité, toutes vertus militaires qui font les grandes nations.
Dans le monde moderne imposé par les vainqueurs, ces vertus n’ont plus cours. Elles ont fait place aux notions de profit, jouissance, individualisme sinon égoïsme, et soumission à une morale, dont nous avons du mal à imaginer les tenants et aboutissants et à des dogmes étrangers.
Aussi ne nous étonnons pas d’être diabolisés, et n’espérez pas avoir de la part des « vrais vainqueurs », la moindre estime, as plus que le droit du souvenir, sinon pour servir d’épouvantail.
Le progrès que les fouts attendaient du XX me siècle celui des lumières, nous replonge au moyen-âge et au temps de l’inquisition: le politiquement correct. Reprenez donc le « livre », l’ancien testament, vous verrez que le dieu devant Clovis a courbé la tête, nous abomine parce que, nous n’appartenons pas au peuple qu’il a élu régner sur la terre, les cieux et les cieux des cieux.
Nous avons combattu dans l’esprit d’une civilisation en voie de destruction. Beaucoup d’entre nous n’ont pas compris les enjeux des deux dernières guerres, et persistent à crier à l’injustice. Mais aux yeux de nos vainqueurs cette injustice n’est que justice parce que nous sommes le mal absolu. Nous avons été pour certains, trop lucides, nous ne pouvons être que des savants. Pensez au sort des Sioux, comanches, Séminoles et autre indiens d’Amérique du nord.. il est celui qui nous est réservé a nous et nos descendants. Drogues, alcoolisme, prostitution, dans des ergastules ou les « bien-pensants » se précipitent au cri de vive la liberté.
Nous les prenions pour des fous, ces camarades qui nous disaient: » profite de la guerre, la paix sera terrible ». Hélas combien avaient ‘ils raison. Malgré la fatigue, la faim, la peur, le froid, la chaleur, les blessures, les poux, nous connaissions et apprécions cette légendaire camaraderie qui s’est fort rarement démentie, et qui perdure au cours de nos rencontres.
Qu’est-elle devenue dans cette société au chacun lutte, seul et qui si par malheur il est l’objet d’une défaillance, devient une proie pour les voisins. Il faut des journées comme celles qui nous allons vivre pour en savourer l’arrière-goût avant de nous replonger dans notre muette solitude.
Mais ne cédons pas au pessimisme. Si l’histoire ne sert jamais deux fois les mêmes plats, par contre elle connaît l’éternel retour de situations analogues. Elle connaît des revirements imprévisibles. Des empires que l’on pouvait croire invincibles se sont effondrés, et si certains nous disent « Les temps sont venus » répondons: c’est encore à voir.
L’histoire de l’humanité ne cessera qu’avec la disparition de l’homme. Un jour cette stèle comme beaucoup d’autres, que l’on pouvait croire oubliés dans les broussailles verrons des gens par centaines ou milliers venir raviver le souvenir de nos exploits. Hélas beaucoup, pour être en accord avec l’air du temps, comme ils le font pour célébrer la gloire des vainqueurs. Pour que cela soit, il faut passer le flambeau. Dans notre Europe exsangue occupée par des populations étrangères à sa culture, ils sont des milliers sinon des dizaines ou centaines de milliers, prêts à le recevoir, et entreprendre la reconquête.
La servitude, même si elle peut paraître longue n’est jamais éternelle. Un jour une volonté se lève et bouscule l’ordre établi.
Alors, Camarades tombés à Tcherkassy, partout ailleurs en Europe, en Afrique du Nord et dans les océans, vous verrez depuis le Walhalla, célébrer au grand jour votre gloire, et vos descendants, les nôtres aussi, être fiers d’avoir eu de tels ancêtres.
Bravo pour cet article.
Guy est depuis longtemps le meilleur archiviste des anciens combattants de cette glorieuse période.
Le jusqu’au-boutisme ce n’est jamais l’intelligence. Je suis de l’avis du général WEIGAND. Quand il n’y a plus aucune chance de victoire, il faut trouver un moyen de mettre un terme aux hostilités. Ce qui valait pour l’Allemagne en 1944 vaut évidemment pour les otano-kiéviens de 2024.
La carrière politique de Léon Degrelle durant l’Occupation allemande pourrait se résumer en une aventure personnelle destinée à gagner le soutien des autorités du Troisième Reich. Son objectif premier est d’exercer le pouvoir politique en Wallonie, mais aussi en Belgique, voire même de recréer l’Etat bourguignon sous une forme nouvelle.
Cette aventure se solde par un triple échec. Tout d’abord, celui d’une vision politique que le Troisième Reich, de plus en plus radicalisé, n’a pas voulu soutenir. C’est aussi l’échec de son mouvement politique, Rex, qui n’a jamais réussi à rallier les masses francophones à la cause de la collaboration. Et, enfin, c’est l’échec personnel de Degrelle. Sa quête de plus en plus désespérée du pouvoir l’a conduit de la Belgique sur le front de l’Est, puis à Berlin lors de la phase finale du Troisième Reich. Condamné à mort par contumace par le Conseil de guerre de Bruxelles en décembre 1944, il s’exile en Espagne, où il est décédé en 1994.
Il n’est pas nécessaire de réussir pour entreprendre. Et c’est bien facile de refaire l’histoire et critiquer les choix de ceux qui ont vécu cette période… 80 ans plus tard.