Le criminel contre l’humanité Lev Davidovitch Bronstein, le judéo-bolchevique Trotzky, est directement responsable de la mort de plusieurs millions de personnes durant la guerre déclenchée en Russie en 1917, la guerre d’agression contre de nombreux pays dans les années qui suivirent, et par la suite par les conséquences de sa politique. Ses crimes – il est notamment le fondateur de la criminelle armée rouge – ont conduit à l’asservissement de la moitié de l’Europe. Lui-même n’aura pas profité de ses crimes : il fut éliminé par l’un de ses congénères alors qu’il était en vacances prolongées au Mexique.
La vente de l’un des palaces qu’il habita est l’occasion de rappeler toute l’escroquerie du communisme, rêve fou de grands bourgeois et d’oligarques ayant conduit plusieurs dizaines de pays à la ruine et au chaos. Mais comme le montre la vente de cette maison, le chaos et la ruine n’étaient que pour les « prolétaires » que prétendaient « sauver » les tueurs marxistes. Trotzky, lui, a bien profité du sang versé par les prolétaires.
Lors de son passage en Turquie, il habitait ainsi une petite masure de prolétaire, s’étendant sur environ 950 m² – ce qui doit représenter environ le centuple de l’espace moyen dont disposait un ouvrier russe à l’époque – sur un terrain de 3 600 m². La petitesse de ce dernier s’explique par le fait que la maison se situe sur la petite île de Buyukada, au large de Constantinople, où se pressent les oligarques le long de la mer de Marmara, sans doute pour pouvoir réfléchir dans ces lieux enchanteurs, à la dureté du travail des travailleurs et des conditions de vie des familles européennes au nord. Avec huit autres, Buyukada fait partie des îles dites des Princes, sans doute ironiquement pour souligner le caractère démocratique et ouvriériste de ceux qui y habitent.
La maison, elle, affiche tous les signes extérieurs de pauvreté et d’ascétisme marxistes : seulement 18 chambres et uniquement cinq salles de bain, ce qui est bien peu pour un avocat de la IIe, puis de la IIIe, puis de la IVe internationale. Et signe de la mesure prolétaire de la bâtisse, elle n’a été mise en vente que 4,4 millions d’euros alors que de très importants travaux sont à réaliser.
Le tueur juif n’en était pas à sa première maison sur l’île : celle-ci avait été construite après l’incendie d’une première. Il y a vécu quatre années d’intense combat.
Au milieu des années 1930, après avoir fortement aidé la cause du prolétariat de l’île Buyukada, le criminel juif s’installa dans une autre maison prolétaire à Mexico, où il vécut la dure condition d’un marxiste obligé de s’égarer dans le luxe et l’opulence. Un matin d’août 1940, un coup de piolet se chargea de le ramener à la dure réalité terrestre et d’endurer une faible part de la souffrance qu’il avait infligée à des millions d’Européens.