La guerre d’Irak, l’invasion de l’Irak ou seconde guerre du Golfe commence officiellement le 20 mars 2003 avec l’invasion de l’Irak, dite opération Iraqi Freedom ou Liberté irakienne (sic !) par la coalition menée par les États-Unis contre le Parti Baas de Saddam Hussein, à titre de « guerre préventive », doctrine de politique étrangère américaine inventée par Georges W. Bush junior.
Les prétextes invoqués par les agresseurs, qui prétendaient que l’Irak disposait d’armes de destruction massives, avait relancé son programme nucléaire et hébergeait des terroristes d’al-Qaeda, se sont révélés être des montages grossiers et des mensonges éhontés.
L’invasion a conduit à la défaite rapide de l’armée irakienne, à l’arrestation puis à l’exécution de Saddam Hussein ainsi qu’à la mise en place d’un nouveau gouvernement à la solde des intérêts yankees.
Cela entraîna des années de guerre civile et la destruction totale des infrastructures et de la société irakienne, accompagnées de centaines de milliers de morts.
Et c’est dans les prisons anglo-saxonnes en Irak (Camp Bucca ou Abu Ghraib) que se forgera le noyau de la nouvelle franchise terroriste takfiriste dite État islamique en Irak et au Levant (Daesh)…
Le sous-titrage en français est disponible dans les paramètres de la vidéo ci-dessus.
Voir aussi :
De l’intervention en Irak au procès de Saddam Hussein, tout n’était que mensonges…
Donnons la parole à Noam Chomsky, intellectuel américain contemporain parmi les plus souvent cités :
« Juridiquement parlant, il y aurait des motifs sérieux pour inculper chaque président des Etats-Unis depuis la seconde guerre mondiale. Ils ont tous étés, soit de véritables criminels de guerre, soit impliqués dans de graves crimes de guerre. »
Mais « QUI » choisit et instrumentalise les présidents des Etats Unis ?
« QUI » bénéficie de leurs crimes ?
Citons Henri Coston écrivain Nationaliste (1910-2001 : « Ceux qui ne cherchent pas à découvrir les véritables meneurs de jeu ignorent que les politiciens qui évoluent sur la scène publique ne sont souvent que des pantins dont d’habiles marionnettistes tirent les ficelles »
Et citons un autre auteur américain : Kevin Alfred Strom : « Pour savoir qui vous dirige vraiment il suffit de regarder ceux que vous ne pouvez pas critiquer »
Il suffit de regarder « Qui » vous ne pouvez pas critiquer
Il faut relier la pantalonnade de C POWELL à l’ONU avec les « attentats » du 11 septembre. Personnellement, je n’avais jamais entendu parler de BEN LADEN avant ces fameux « attentat » et leurs halos de mystère :
la vitesse impressionnante d’effondrement des deux tours.
Les témoins qui entendent des explosions.
Le nez de l’avion qui sort de l’autre coté de la tour
L’absence de débris d’avion au sol
L’immeuble qui s’effondre sans avoir été percuté
Les avions qui rentrent dans la tour sans que ses ailes ne se détachent (super solides les BOING)
Le réacteur trouvé de la mauvaise marque (ils auraient dû trouver un PRATT et WITHNEY américain et non un réacteur français)
Si le coup a été monté, effectivement, on peut se demander par qui. Apparemment, l’Etat profond US était dans le coup. Seul ?