Les Nationalistes lancent une nouvelle campagne d’affichage contre la pédomanie
Dans la continuité de l’intervention de Paris Nationaliste à la soirée d’hommage à Gabriel Matzneff en octobre dernier, les Nationalistes lancent une campagne d’affichage ciblant les personnalités ayant publiquement fait l’apologie de la pédomanie – et qui tiennent encore le haut du pavé.
Les têtes d’affiche
On ne présente plus Daniel Cohn-Bendit. Agitateur de Mai 68, anti-capitaliste reconverti dans le macronisme, écologiste intermittent, militant sans-frontièriste infatigable. Bernard Lugan témoigne dans Mai 68 vu d’en face qu’il n’était qu’un petit meneur de bande à Nanterre, méprisé par la majorité des étudiants, avant qu’il n’accède subitement à la notoriété grâce à une forte promotion médiatique. Son passage à Apostrophe, où il revendique fièrement se livrer à des attouchements sexuels sur les enfants dont il a la charge dans une crèche allemande, est bien connu. Une autre vidéo de 1975 a émergé récemment où il tient des propos de la même teneur à une chaîne suisse. Tout ceci ne dérange pas le moins du monde le gratin médiatico-politique. Cohn-Bendit passe encore à la télévision en ce début d’année, même après l’éclatement de l’affaire Matzneff, qui a montré la coupable permissivité du Système vis-à-vis de la pédomanie. Cohn-Bendit a été choisi par Macron pour mener la campagne aux élections européennes au printemps dernier.
Né en 1922, René Scherer est une figure du militantisme homosexuel. Il fut aussi promoteur de la pédomanie, et se servit de son poste de professeur à l’université de Vincennes comme tribune pour diffuser ses idées. Nous renvoyons à l’article très complet publié par le Collectif Nemesis sur ce personnage. Nous relayons leur appel à ce que Scherer perde son titre de professeur émérite d’université, et invitons nos lecteurs à écrire à la présidente de l’Université Paris 8, Mme Annick Allaigre, sur son profil Twitter ou par courriel à [email protected].
Roman Polanski est ce célèbre cinéaste américain qui drogue de jeunes femmes avant de les frapper et de les violer, recherché par la police américaine et accueilli à bras ouverts par le petit milieu cinématographique français. Bien que pas moins d’une dizaine de femmes le placent en accusation, les jurés de l’Académie des Césars ont jugé à propos de placer son film J’accuse en tête de la liste des films à récompenser lors de la prochaine cérémonie des Césars le 28 février 2020. Ce film, peut-être une réussite sur le pur plan esthétique, est une œuvre de propagande communautaire, présentant Dreyfus comme une victime de l’antisémitisme des Français, alors que Dreyfus a été soupçonné d’espionnage par l’Etat Major parce que plusieurs éléments factuels le mettaient en cause. Le souci des militaires était d’assurer la sécurité de la France, non de purger l’armée des officiers israélites. Mme Monique Delcroix et Bruno Gollnisch font le point sur l’Affaire Dreyfus et son traitement par Polanski dans cet entretien. Polanski a eu le culot de se comparer à Dreyfus…rapprochement qui tend plus à enfoncer le feu capitaine que disculper Polanski.
Les seconds couteaux
Elles ne sont pas citées sur l’affiche, mais plusieurs personnalités bien connues ont également tenu des propos plus que douteux sur le sujet :
- Jack Lang, qui a soutenu tous les détraqués sexuels : Polanski, DSK, Woody Allen. Il a été cité dans plusieurs affaires de pédocriminalité, sans jamais être condamné. Il déclarait le 31 janvier 1991 à la revue Gay Pied : « La sexualité puérile est encore un continent interdit, aux découvreurs du XXIe siècle d’en aborder les rivages. ». Le regretté Roger Holeindre l’accusa publiquement d’avoir été présent au Coral, lieu de vie pour enfants handicapés où plusieurs d’entre eux furent abusés. Libération dans la nécrologie consacrée à Holeindre écrite par Christophe Forcari, affirme que Holeindre fut condamné en diffamation pour cette « outrance » : pure invention de la part du journal qui fut le porte-voix du lobby pédomane après Mai 68.
- Alain Finkielkraut, qui a aussi pris la défense de Polanski, DSK, et plus récemment de Matzneff. Par ailleurs, plusieurs de ses livres contiennent des propos fort ambigus sur le sujet. Ainsi, dans Le Nouveau désordre amoureux (1977), co-écrit avec Pascal Bruckner, on lit : « Le corps de l’enfant demeure aujourd’hui en Occident le dernier territoire inviolable et privé, l’unanime sanctuaire interdit : droit de cité à toutes les “perversions”, à la rigueur, mais chasse impitoyable à la sexualité enfantine, son exercice, sa convoitise. La subversion, si l’on y croit encore, ce serait de nos jours moins l’homosexualité que la pédérastie, la séduction des “innocents” (d’où le scandale que provoquent les livres de Tony Duvert [un promoteur de la pédomanie] alors qu’ils devraient stimuler, susciter des vocations, dessiller les yeux). Parce que la maturité est toujours l’histoire d’un étranglement, l’adolescence n’est pas le début de la vie sexuelle mais plutôt sa triste canalisation: à 14-15 ans, les jeux sont faits, la normalité orgastique parachève son patient travail de redressement. L’enfance (…) serait donc le continent prohibé par excellence, la terre promise que nul n’aurait le droit de fouler au pied (…). Faire l’ange, ça vous excite cette débilité là ? ».
Et quelques pages plus loin: «Il est dommage que la prétendue « maturité sexuelle» (…) ne soit conçue unilatéralement que comme le refoulement ou du moins la mise en résidence surveillée des sexualités antérieures (enfantine, fœtale, adolescente mais aussi végétale, cosmique, animale). Plus triste encore que tout progrès érotique ne soit conçu que hiérarchiquement, s’élevant sur le silence et le muselage des autres paliers. Pourquoi ne pas vouloir une sexualité sans exclusion qui soit l’adhésion de tous les érotismes et non plus l’élection d’un seul au détriment de tous les autres ? Qui retrouve les mystères et les joies de l’enfance à partir des acquis de l’âge adulte ?»
Dans Au Coin de la rue, l’aventure (1977), on lit, toujours sous la plume de Finkielkraut et Bruckner: « Désirez-vous connaître l’étendue des passions impossibles ? Eprenez-vous d’un(e) enfant ».
Extrême-droite casher
Finkielkraut, la coqueluche des droitards pour avoir cité quelques vers du patriote dreyfusard Péguy, est un contempteur constant du nationalisme (sauf évidemment quand il s’agit de celui d’Israël). Ainsi, dans La Discorde (2008), un livre d’entretien avec Elisabeth Lévy et Rony Brauman (ce dernier est un juif antisioniste), Finkielkraut déclare : « la vigilance politique de notre temps est entraînée à reconnaître la « Bête immonde ». Elle sait défendre l’égalité de tous contre l’idée de la hiérarchie naturelle des êtres, le droit du sol contre la mystique de l’enracinement, l’ouverture contre l’exclusion, l’amour contre les murs, le verre contre la pierre, le cosmopolitisme contre le nationalisme et la circulation des identités contre l’obsession des origines. «
Toujours dans Le Nouveau désordre amoureux, on peut lire que Finkielkraut et son compère font l’apologie d’à peu près toutes les déviances sexuelles possibles. Certes, le ton du livre est léger, et Mai 68 est passé par là. Mais on ne peut manquer d’être interloqué en lisant ces passages:
«Quand les signes de la séparation des sexes se mettent à flotter, il devient possible d’épouser tous les caractères sexuels à partir d’une position déterminée: être tour à tour, auprès de la femme qu’on aime, pédéraste, sodomite, frère, sœur, amant, lesbienne; avec l’enfant qu’on affectionne, jouer à l’amant, au père, au fils de ce père, à l’épouse, à la sœur de l’épouse, être l’enfant de cet enfant, et le chat de sa grand-mère, et la canne de l’aïeul.» On pense aux livres de Hervé Ryssen, à cette propension qu’il a notée chez les écrivains juifs à parler de l’inceste, au sujet duquel le Talmud est lui-même très ambigu. Ryssen a également diagnostiqué un problème d’absence de frontière, de limite, dans le judaïsme, que l’on retrouve bien dans cette citation.
«La différence des sexes, dès qu’on déserte les codes qui lui sont liés, devient indécise et floue comme un mensonge dont on ne saurait jamais s’il est une vérité masquée ou l’indice d’une vérité impossible. Il faut partout que la décision devienne difficile et que notre désignation «c’est un homme, c’est une femme» nous reste sur le cœur comme une bêtise profonde. » On voit là poindre là les prémices de la théorie du genre. Le Dr. Alexis Carrel, lui, préconisait au contraire que « Les sexes [soient] de nouveau nettement définis. Il importe que chaque individu soit, sans équivoque, mâle ou femelle. Que son éducation lui interdise de manifester les tendances sexuelles, les caractères mentaux et les ambitions du sexe opposé. ». Le Maréchal Pétain avait nommé le Dr. Carrel à la tête de la Fondation française pour l’étude des problèmes humains, à l’origine de la médecine du travail et du livret scolaire, devenue par la suite l’INED (Institut National des Etudes Démographiques).
On trouve aussi dans ce livre un éloge du sadisme, de la nécrophilie, de la coprophagie, ou encore de la bestialité, au sujet de laquelle les auteurs écrivent: « ignoble qualification de bigot pour désigner les choses de l’amour, double ignorance, et de la vie sexuelle des animaux (la plus codée qui soit ), et de l’exquise urbanité du corps érotique. »
Après avoir eu ces lignes, on ne peut s’empêcher de réviser son jugement sur les nationaux-socialistes qui mirent de l’ordre à la bibliothèque de l’Institut de sexologie fondé par le juif allemand Magnus Hirschfeld, inspirateur de cette belle littérature.
On peut s’interroger aussi sur la relation qu’Alain Finkielkraut a eue avec sa mère. Ainsi, interrogé en 2015 par Fogiel, il déclare que sa mère a eu pour lui «un amour exclusif, magnifique et abusif à la fois, je vais pas vous faire les violons d’Albert Cohen, ça avait des côtés très pénibles».
Retour sur la soirée du 17 octobre 2019
La soirée d’hommage à Matzneff avait été organisée dans un bar du quartier latin, L’Eurydice (publicité gratuite), par un étudiant, Arthur Pauly, ami de Matzneff, dont il a fait, dit-il, son «conseiller conjugal». Il a donc été absolument furieux que nous ruinions sa soirée. D’autant que le malheureux nous avait demandé avant le début des festivités de ne pas faire trop de bruit pour ne pas perturber l’hommage…Nous avons juste contribué à mettre un peu d’ambiance à cette soirée qui s’annonçait très guindée. A la parution du livre de Vannessa Springora, Pauly a été interviewé par Le Monde. Il tente de nous apitoyer sur le malheureux écrivain: « Pour Matzneff c’est très douloureux. Quand il l’a appris [la parution du livre de Mme Springora], il en avait les larmes aux yeux. » Pauly nous dit vouloir devenir écrivain. Quel début retentissant dans le monde des lettres, l’amitié avec un pédomane étalée dans la presse ! Nous doutons du reste de son talent : le texte qu’il a écrit au sujet de sa soirée ratée est grotesque. Le style ampoulé s’y mêle à la forfanterie et à la grandiloquence. Il revendique fièrement s’être battu contre nous. Notre jeune héros se sera pourtant plus servi de ses cordes vocales que de ses poings pour défendre son ami. Citons pour la rigolade quelques morceaux choisis :
«Nos grands écrivains se font rares : leurs rangs, plus éclaircis que le crâne d’un bonze, se resserrent tandis que sonne le glas de cette liberté qu’ils avaient su préserver des bégueules et des dévots. À cette belle endormie, il faudra désormais une brigade de chevaliers servants, prêts à monter au créneau pour la défendre.»
«C’est à nous que revient alors d’ériger un barrage d’encre et de papier contre leurs flots acides. Ces tracts et slogans passeront comme la pluie mais la littérature, elle, notre littérature s’imposera splendide à l’immortalité.»
Que notre spartiate à lunettes reste prudent lorsqu’il emploie des mots savants, comme quarteron, qui ne désigne pas un groupe de quatre personnes, mais un petit groupe de personnes, ou un mulâtre, ce que nous ne sommes assurément pas.
Quoi qu’il en soit de son talent, le sort de sa carrière est entre de bonnes mains : son texte a été publié sur le blog de Pierre Assouline, séfarade de Casablanca, influente personnalité du monde littéraire, membre du Club Le Siècle.
L’interview de Pauly dans Le Monde nous aura aussi appris quelque chose d’amusant : les gauchistes que nous avons croisés en sortant du bar et que nous avons excités contre Matzneff y sont entrés à leur tour au cri de «Matzneff au Goulag !» faisant immédiatement suite à notre slogan «Pédophiles à Cayenne». Les organisateurs ont été tellement saisis d’effroi qu’il ont «exfiltré» Matzneff…
Une victoire de Paris Nationaliste
Roland Jaccard, l’ami de Matzneff qui l’accompagnait à la piscine Deligny pour draguer les adolescentes, s’indigne dans Causeur d’un « déchaînement de violence inouïe qui sonnait le glas de la littérature ». L’outrance est encore une fois de mise mais nous savourons la terreur ressentie par l’entourage de Matzneff déclenchée par la bousculade, quelques cris et quelques tracts. Espérons que la littérature s’en remettra. Jaccard dit que Matzneff lui a déclaré à la suite de l’incident – et avant que ne paraisse l’ouvrage de Mme Springora – ne plus vouloir faire de réunion publique. C’est une petite victoire, mais une réelle victoire, que les pédomanes ne se sentent plus en sûreté pour faire ouvertement leur prosélytisme, et en soient réduits suivant les mots de Matzneff « aux catacombes ». C’est aussi la preuve qu’une action menée avec peu d’hommes et peu de moyens peut aboutir à des conséquences réelles.
Nous avons été surpris de voir qu’une revue de littérature, Raskar Kapac, avait participé à l’organisation de la soirée et a soutenu Matzneff, y compris après le scandale, mais plus discrètement.
Ils semblent avoir un certain tropisme pour la pédomanie, puisqu’ils font l’éloge aussi des livres de Tony Duvert et René Scherer, deux apologistes de cette pratique, et publient une lettre échangée entre ces glauques individus. Pourtant, l’un deux se dit catholique, d’après cet article du Figaro. Ces jeunes gens célèbrent à longueur de phrases l’héroïsme et se prennent naturellement pour des chevaliers des temps modernes. Nous craignons qu’ils ne soient jamais que des petits bourgeois de droite, propres sur eux et bien lisses, et que leur plus grand exploit n’ait jamais été que l’ascension de la montagne Sainte Geneviève pendant les grèves. Ils se voient comme des révolutionnaires et sont publiés dans Le Figaro. Nous laissons à ces péteux du milieu littéraire parisien, sempiternellement défoncés à la cocaïne et au poppers et qui se prennent pour des héritiers de Baudelaire, le soin de défendre Matzneff et leurs pareils. On ne les attendra pas pour mener le combat nationaliste. Tout ceci fait songer à ce passage de Dialogues de vaincus sur la nouvelle élite mise en place après guerre:
Cousteau: «On comprend qu’ils [Sartre et les existentialistes] aient eu au début un certain succès auprès des jeunes gens en leur expliquant qu’il ne tirait point à conséquence de culbuter sa mère, de chier sur les moquettes et de voler aux étalages, que l’important était de se « réaliser » par n’importe quel moyen : catch as catch can. Là-dessus, on leur dit : « D’accord, je vais me réaliser dans la SS. » Et tu les vois aussitôt bondir comme un Mauriac dans un bénitier, se tordre les bras et glapir que c’est l’abomination de la désolation, qu’on ne peut se « réaliser » décemment que dans les brigades internationales. Si tu demandes pourquoi, tu te fais drôlement engueuler. Scrogneugneu ! Garde à vous ! Repos ! Foutrai d’dans ! Jugulaire Jugulaire ! Et pas de rouspétance. On se « réalise » dans les brigades internationales parce que c’est l’ordre du colonel. En quelque sorte l’impératif catégorique de feu M. Kant qu’on baptise « historicité » pour relever la sauce.»
On peut lire aussi une réaction à l’action sur le «blog de défense de David Hamilton». L’auteur condamne l’« agression » dont aurait été victime l’écrivain octogénaire (alors que nous nous sommes contentés de lui remettre en mains propres notre tract). Qui était David Hamilton ? Un photographe britannique qui prenait en photo des adolescentes dans des positions érotiques. Plusieurs personnes l’ont accusé de viol alors qu’elles étaient mineures. En 2016, peu de temps après que les premières accusations aient éclaté, David Hamilton fut retrouvé mort, après un probable suicide. On a l’impression que ce qui intéresse les amis de David Hamilton, c’est moins l’art photographique que la défense de la pédomanie. L’auteur du texte n’est autre qu’Olivier Mathieu, qui se présentait jadis comme « national socialiste » et qui avait fait état des positions révisionnistes, de façon assez maladroite, à la télévision en 1990 dans l’émission de Dechavanne, ce qui avait déclenché une bagarre avec des membres du Betar présents sur le plateau de l’émission. Depuis, Olivier Mathieu affirme qu’il n’a « jamais été d’extrême-droite », et a présenté 11 fois sa candidature à l’Académie française, sous trois noms différents, sans succès.
Une autre réaction à l’action est parue sur le site Les Lettres françaises, successeur de la revue papier du même nom, émanation du PCF et financée par Moscou après guerre. La revue s’ingénia à décrédibiliser le témoignage sur le Goulag écrit par Victor Kravtchenko, accusant celui-ci d’être un agent américain à partir de documents falsifiés. Les écrivains communistes Jean Ristat et Franck Delorieux font part dans ce texte de leur soutien à Matzneff et dénoncent « la moraline » d’une « petite bande de fascistes » qui s’en prennent à « l’homme de l’amour ».
Les médias de la droite bourgeoise Causeur et Le Figaro ont apporté aussi leur soutien au satyre, avant de prendre part hypocritement à l’indignation générale quelques semaine plus tard à la sortie du livre de Mme Springora.
On voit donc que le soutien à Matzneff provient de milieux assez disparates, qui s’abritent derrière l’alibi du talent littéraire, tout relatif en ce qui concerne Matzneff, pour défendre la liberté d’expression, et, plus ou moins ouvertement, la pédomanie. Nous formulons le vœu que dans les années qui viennent, les réseaux pédophiles (auprès desquels Matzneff a dit s’être procuré des enfants prostitués) qui tissent leur toile sur tout le monde occidental soient progressivement mis à jour et démantelés. Si Jimmy Savile en Grande-Bretagne est mort impuni, Epstein aux Etats-Unis est mort en prison (assassiné ?), Matzneff est déchu: l’étau se resserre. Mais l’affaire du Pizzagate n’a jamais fait l’objet d’une enquête policière aux Etats-Unis, et en France l’enquête sur les ramifications du réseau Epstein piétine, tandis les médias n’y apportent qu’un écho affaibli et déformé. C’est pourquoi nous lançons une nouvelle campagne d’affichage visant des personnalités connues pour leur militantisme pédomaniaque et qui restent manifestement intouchables…plus pour longtemps, nous l’espérons.
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