Le documentaire « Un homme » de Paul-Eric Blanrue sur Robert Faurisson.
En cas de censure, le documentaire reste visible sur Archive.org
Pour aller plus loin : L’archive Faurisson
Jeune Nation TV
Jeune Nation TVLe documentaire « Un homme » de Paul-Eric Blanrue sur Robert Faurisson.
En cas de censure, le documentaire reste visible sur Archive.org
Pour aller plus loin : L’archive Faurisson
un Grand Monsieur RESPECTS et PAIX a lui
Un homme bon, droit et exceptionnellement courageux qui n’a pas renoncé à proclamer la vérité jusqu’à son dernier souffle malgré la persécution et le harcèlement permanents.
Qu’il repose en paix.
La Réunion le 21.10 2025,
Camarades, je suis surpris par le fait que vous censurez mes messages une fois sur deux sans m’en donner la raison ! Si mon courrier vous gêne dites le moi j’aurais alors la tristesse de me désabonner de votre intéressant site . (Vous avez par exemple supprimez mon courrier du 29 juillet 2024 adressé au gendarme XXXXXXXXXXX) . Par contre je me réjouis de la qualité de vos rubriques historiques … (Voir ci dessous mon dernier commentaire)
Votre ami ancien résistant qui fut déporté au camp de concentration de St M. l’A. par un renégat (s’étant rendu aux forces allemandes en 14/18 sans combattre et Général Micro à Londres en 39/45 aux ordres du général juif Spears) .
LA VIE, LA GUERRE ET L’APRES-GUERRE VU PAR UN ENFANT DE SIX ANS QUI SE RAPPELLAIT DES EVENEMENTS HORS DU COMMUN :
1942 J’ALLAIS AVOIR 4 ANS, J’HABITAIS A ASNIERES AVEC MES PARENTS ET MA SOEUR AU 9, RUE DE VILLEBOIS MAREUIL (1) DANS LE PAVILLON AVEC JARDIN DE MON GRAND-PERE MATERNEL OÙ POUSSAIT DU MUGUET, DES SALADES, DEUX CERISIERS DE LA VARIETE MONTMORENCY ET DES POMMES DE TERRE ; LA VIE N’ETAIT PAS ROSE AVEC LES ALERTES (BOMBARDEMENTS SUR NOTRE COMMUNE PAR NOS « ALLIES » ET RESTRICTIONS ALIMENTAIRES) …
En novembre 42 ma mère sortait du pavillon pour essayer de trouver de quoi remplir son cabas au marché quand une patrouille allemande passa dans la rue en chantant Lilly Marlene, arrivée à notre niveau ma mère ne pu s’empêcher de dire à voix haute « Ils chantent aujourd’hui, ils déchanteront demain ! » Le jeune Lieutenant qui commandait les soldats et passait près de la porte d’entrée se retourna et dit en français « Je vous ai entendu Madame veuillez me montrer vos papiers sur le champ, on n’insulte pas la Wehrmacht impunément et d’abord où allez-vous ? », à la question ma mère répondit « J’allais faire mes courses et voici mon livret de famille » . Le Lieutenant parcouru le livret et dit si je comprends bien vous êtes de sang allemand puisque vos parents et ceux de votre mari s’appellent tous les quatre Boch et même votre époux Mr Roger Suzan est né de mère portant le patronyme Boch, est-ce exact ? « Oui mais nous sommes implantés en France par nos ascendants depuis une quarantaine de générations et nous possédons donc la nationalité française, c’est pour cela que le père de mon mari est tombé à Verdun et que mon propre père grièvement blessé a été rapatrié du front pour l’hôpital d’Asnières en 1917 . » L’officier hocha la tète et dit « Madame normalement je devrais vous remettre au siège local de la GeheimeStaatsPolizei (Gestapo) mais comme vous êtes Völkisch par descendance allez faire votre marché !! » Ma mère me prit par la main et me rassura en disant « Ce n’était rien qu’un contrôle allons chercher le pain ! » Une semaine après en pleine nuit à 3 heures du matin l’alerte retentit et un épouvantable fracas se produisit, réfugiés à la cave le pavillon pourtant en solides meulières tremblait sur ses fondations ma mère dit « Mes enfants faisons notre prière nous allons rejoindre le Créateur ! » Les Alliés visaient la gare d’Asnières mais s’étaient trompés d’emplacement … La nuit d’épouvante passée nous sortîmes dehors et à part le pavillon de notre voisin Monsieur Blin et le notre tous les bâtiments du secteur proche (une trentaine) avaient été rasés et leurs habitants ensevelis .
En juillet 1946, la guerre étant terminée, nous avions déménagé pour le boulevard Voltaire dans le onzième arrondissement de Paris où mon père m’emmena avec ma mère au « Caveau de la République », ma tante ne pouvant me garder, entendre des chansonniers et des humoristes provenant pour la plupart des shettels de Pologne ou des ghettos de Russie, la salle était remplie ce jour là d’une majorité écrasante de Juifs reconnaissables par leurs kippas vissées sur la tête, le présentateur du spectacle, un Juif, une fois le rideau levé s’adressa aux spectateurs et dit « En voyant cette salle je comprend que les camps allemands étaient soit des couveuses ou soit des séjours de vacances ! » C’est comme ça que petit j’appris qu’un Juif est un homme portant une calotte .
(1) La rue fut débaptisée après la deuxième guerre mondiale pour ne pas froisser nos « chers amis anglais ». Le colonel Georges de Villebois Mareuil né à Nantes en Bretagne en 1847 a été tué au combat en tant que volontaire dans l’armée afrikaan à Boshoff en Afrique du Sud (Republik van die Orange-Vrystaat) . Les Afrikanders, des blancs originaires des Pays Bas, n’avaient colonisé personne puisqu’à leur arrivée cette région était inhabitée et quand les Anglais voulurent les dominer ils s’allièrent aux noirs d’ethnie bantou pour organiser la résistance à l’impérialisme britannique qui surprit par le combat des Boers installa des camps d’extermination pour la population civile, premiers camps de la mort (de type Pol Pot au Cambodge). Si la guerre avait durée deux ans de plus la totalité de la population afrikander aurait disparu de la surface du globe ! A noter que contrairement aux bobards des vainqueurs diffusés par les médias anglo-américains les Allemands n’avaient pas ce genre de camps et la meilleure preuve en est donnée par le Crif et la Licra qui organisaient tous les deux ans et ce jusqu’à une période récente un grand rassemblement des centaines d’enfants juifs nés au camp d’Auschwitz !!! Le camp fut libéré par l’Armée rouge qui constata que les enfants étaient en bonne santé malgré le cruel manque de vivres dû aux bombardements américains qui avaient coupé les voies d’accès du camp . En visite, à Auschwitz une fois le camp libéré, le Juif Ilya Ehrembourg, l’adjoint du camarade Iossif Stalin, étant « Responsable du recensement des crimes nazis commis en Europe » déclara « Nous avons fouillé de fond en comble Auschwitz et pas la moindre trace de chambres à gaz homicides ! » Comme quoi la vérité historique est confirmée parfois par des antifascistes patentés !!!
Jean-Pierre Suzan
Les salades et pommes de terre du jardin de votre grand père ? C’est une blague ou quoi ?
Et vous vous demandez « pourquoi » vous avez été censuré par le passé ?
Je me demande quant à moi « comment » on a pu laisser passer sur ce site un pavé de 73 lignes… dont seulement les 8 dernières ont un rapport avec l’article servant d’exutoire à un besoin d’épanchement pour le moins sénile… voire carrément pathologique !
Quel rapport avec Faurissson?
Immense personnage, dont le courage à toutes épreuves continue de donner l’exemple. Du moins pour ceux et celles qui se sont délivrés des barrières psychiques de yahvé (pas avec une majuscule, on est pas sur cjews).
Pas d’ordre et pas de budget et alors. Au bagne de Cayenne, il n’y avait pas non plus d’ordre écrit, pourtant tout était fait pour que les détenus décèdent sur place, avant la fin de leur peine. Au goulag soviétique, chinois ou cambodgien, c’était pareil. Pourquoi cela aurait il été différent dans les camps de concentration allemands ? (le terme camp d’extermination est apparu dans les années 1980, après la diffusion à la télévision de la série holocauste) Il faut bien que quelque chose explique la formidable différence de mortalité entre ces camps là et les camps de prisonniers ou de STO.