Le texte qui suit a été écrit par Pierre Sidos, le 16 juin 2011 ; toutes les illustrations ont été ajoutées pour cet article uniquement. Texte lumineux, il réunit l’histoire et la doctrine, la poésie et la tradition.
POUR QUE LES CHOSES SOIENT CLAIRES
Considérations sur le blanc.
Le continent européen – limité par l’Atlantique, l’Oural, l’Arctique, le nord de la Méditerranée – est le berceau géographique de l’épanouissement de la civilisation européenne.
La civilisation européenne, de nature hellèno-romano-chrétienne, est incarnée dans une catégorie d’êtres humains, bien caractérisée par la finesse des traits physiques et d’exceptionnelles qualités intellectuelles, laquelle constitue une famille raciale particulière dite européenne.
La race européenne, au cours de son développement historique, s’est répartie en activités nationales distinctes, avec en plus une participation collective à la propagation sur les autres continents des bienfaits évidents du génie de l’Occident.
L’unité du genre humain n’implique pas la recherche de l’uniformisation contre nature des êtres, qui conduit au chaos universel. A l’inverse, c’est la reconnaissance de ce qui est naturel, qui assure l’ordre du monde. Et, si l’origine génétique de chacun est l’élément irrécusable de son identité, le point de départ de son identification foncière doit se rapporter à un continent : l’Europe pour le Blanc (ou leucoderme, ou caucasoïde), l’Afrique pour le Noir (ou mélanoderme, ou négroïde), l’Asie pour le Jaune (ou xanthoderme, ou mongoloïde).
La coloration claire de la peau des Européens, comparée à celles des autres habitants de la planète, les a classés comme étant blancs. Ainsi, l’Européen est ordinairement qualifié de Blanc, et le peuple de France étant fondamentalement européen, n’est pas Français celui qui n’est pas Blanc.
De toutes les couleurs, le blanc est celle dont les vertus sont les plus manifestes, les plus rayonnantes. Le blanc reste l’apanage des héros, de la fiancée fidèle, du coeur pur, de l’âme forte et fière.
La lumière nous apparaît blanche, alors qu’elle est composée de sept couleurs (rappel : le spectre solaire comprend le violet, l’indigo, le bleu, le vert, l’orange, le rouge).
De tous temps la couleur blanche est le symbole de la pureté, de la vertu, de la candeur. Les vestales romaines, vénérées du peuple, étaient vêtues de blanc. Dans la Gaule de la même époque les druides cueillant le gui portaient des tuniques blanches.
Les premiers chrétiens ensevelissaient leurs morts aux catacombes dans un linceul blanc, et c’est en souvenir de cette pratique que les prêtres chantant la messe en latin passèrent un surplis blanc sur leur soutane noire. Aux XVIIe et XVIIIe siècles le blanc fut la nuance dominante dans l’uniforme de l’infanterie française. Dans les cimetières les tombes et les croix des enfants morts sont blanches. Au moment de la Toussaint, en plus des chrysanthèmes de couleurs variées apportées en souvenir des défunts, la plupart des orchidées déposées à cette occasion sont blanches, de préférence nette vis-à-vis des autres teintes de cette fleur altière, sobre, durable. Et si en général on estime vrai que la race blanche est celle qui de toutes a fait le plus dans le domaine des arts et de la connaissance, peut-être n’est-ce pas un hasard ou une coïncidence.
Le blanc est la couleur centrale de l’emblème de la France : le drapeau tricolore bleu-blanc-rouge, formé de trois bandes verticales de largeur égale. Toute addition symbolique en surcharge étant à proscrire, ainsi que la mise en berne en signe de deuil.
La croix celtique stylisée, expression graphique du nationalisme français régénéré, doit toujours être représentée en utilisant la couleur blanche. Cette blancheur à une signification exemplaire de luminosité à l’opposé, entre autres variations, d’un coloriage en noir ou d’une disposition sur fond de couleur noire.
A l’origine l’expression « une nuit blanche » faisait référence à un rite fondamental d’admission à l’état de chevalier. La nuit précédant l’adoubement – remise solennelle de l’armure personnelle – aux nouveaux postulants, âgé de 17 à 21 ans, ceux-ci devaient revêtir un vêtement blanc, symbolisant la clarté de l’esprit. Ensuite, il y avait l’obligation pour eux de passer la nuit sans dormir ni s’alimenter, en se consacrant entièrement à la réflexion et à la prière, jusqu’au matin du jour de la cérémonie.
Le fait de revêtir une pièce de l’habillement de couleur blanche, lors d’évènements importants de la vie sociale, indique clairement une pensée saine, une intention délicate. Dans cet esprit, les personnes personnes adhérant aux idées lumineuses de la doctrine nationaliste – les jeunes tout d’abord – se doivent, en certaines circonstances, de porter une chemise blanche visible comme tenue d’honneur.
Pierre Sidos
Et si nous revenions à l’aristotélisme?
existe donc une causalité ; le monde a une cause ou une chaîne de causalités qui en vient nécessairement à une première cause non causée. Or celle-ci ne peut être une cause non causée que si elle préexiste éternellement et donc n’est pas composée d’acte et de puissance, elle est donc immatérielle, parce qu’un corps, une matière est toujours informé, en conséquence de quoi une matière n’existe jamais seule, mais en tant qu’elle est composée, en tant qu’elle est unie à une forme.
Concernant le premier point, « le mouvement a toujours été ». Aristote reste dans la ligne grecque qui est celle de l’éternité d’un mouvement uniquement matérialiste. Ce qui mis en forme syllogistique donne ceci : « Tout ce qui est mû est mû par un autre ; or on ne peut remonter à l’infini dans l’ordre des causes motrices, donc il faut un premier moteur immobile ».
Comme la déduction fait partie de sa méthode, Aristote a posé des prémisses :
. La majeure est l’action de l’agent ou moteur qui meut et du patient ou mobile qui est mû, car celui qui est mû est mû par un autre (Quod movetur ab alio movetur quae una est), cause première qui n’a jamais reçu reçu l’existence , elle est « a se »..Tout mobile formellement pris est divisible, même divisé, car le changement est l’acte de ce qui existe en puissance, en tant qu’il est en puissance. Le changement suppose des parties lorsqu’il est soumis au mouvement. Il y a des parties en actes et des parties en puissance. Or l’union de ces parties en puissance et en acte suppose une cause qui les unisse, en d’autres termes, le changement suppose toujours une cause efficiente.
. La mineure est qu’on ne peut remonter à l’infini dans l’ordre des causes motrices lorsqu’on l’applique à une série, si tout ce qui est mû est mû par un autre. On ne peut imaginer une série infinie de mobiles sans moteur. C’est incohérent !… Multiplier le nombre de mobiles rend encore plus nécessaire l’existence d’un premier moteur, une série infinie contingente n’est pas un être nécessaire, une série infinie de moteurs ne fait pas un moteur. C’est comme si un train comportait une série infinie de wagons rattachés les uns aux autres, chaque wagon tirant le wagon précédent mais sans motrice. C’est inepte !… Mais, il faut bien comprendre que ce n’est pas la question d’une série successive ou éternelle, mais une série simultanée. Quand est-ce que le mobile est mû ? En fait, quand le moteur meut le mobile.
Mais quand est-ce que le moteur meut le mobile ? Quand le moteur est mû à mouvoir le mobile. Quand est-ce que le moteur est mû à mouvoir le mobile ? Eh bien, au moment où il meut le mobile, c’est-à-dire quand le mobile est mû. Tout se passe au même instant dans la même action. C’est comme les rouages d’une horloge, tout se passe au même instant. La question, ici, revient à savoir s’il peut y avoir au même instant dans la même action une chaîne ininterrompue de moteurs mus comme une infinie de rouages se mouvant au même instant sans qu’il y ait une origine première. Cela est impossible, sinon c’est admettre qu’une série infinie est mûe, mais qu’elle est mûe par rien.
En conclusion, il faut donc un premier moteur immobile.
Les répercussions en psychologie (philosophie du vivant) et en entomologie sont capitales. Nous comprendrons mieux cette discipline en sachant comment le mécanisme du corps peut-être commandé ad intra, par un changement d’état purement qualitatif, qui n’a rien de mécanique, comme le désir et le vouloir, et ainsi comment l’âme déclenche les forces matérielles du corps qu’elle informe sans action matérielle, et sans augmenter le total des énergies physico-chimiques.
En physique (dans le sens aristotélicien), par exemple, dans l’évolution, y-a-t-il un changement continu, progressif d’espèces en espèces ? La réponse est non, car la génération substantielle n’est pas un mouvement progressif mais instantané. Bien sûr le changement substantiel est préparé par toute une série de changements progressifs mais au bout d’un moment il y a un instant où ce n’est pas encore tel être et l’autre instant où l’on change de nature, on change de forme, et çà c’est instantané. En entomologie, Jean-Henri Fabre, qui est un « Évolutionnaire », a prouvé la justesse de ses vues face à l’évolutionnisme de Darwin à travers son exemple du sphex.
Cette science du mouvement des «Anciens » tirée du premier degré d’abstraction de l’intelligence humaine permet à l’homme d’atteindre l’Être métaphysique, Unique et Incorporel, le troisième degré d’abstraction. En sera-t-il ainsi de la science du mouvement chez les « Modernes » ?
Quand je vois le nombre de narbonoÏde qui tape l’incruste dans la mouvance « identitaire » et « nationale catholique » ce texte est une sage piqure de rappel.
Notons au passage que certaines personnes ne sont pas de vrai européen génétiquement parlant:
Les juifs(en partie)
Les Roms(en totalité)
Les berbères(50/100 chasseur cueuilleur europoÏde +50/100 Africain)
Les Portugais (40/100 de gène extra-européen dont 3 à 4 /100 de sub-saharien).
Certaines personne comme Pierre Hillard et Ploncard d’Assac ont par des sous entendus critiqués le national socialisme et son racialisme ce genre de déviance verbale ne sont pas acceptable.
https:/www.eupedia.com
Est-ce que Jésus auquel se réfèrent les nationaux-catholiques était blanc et originaire d’Europe ? les nationaux-catholiques ont -ils lu le Nouveau Testament ?