Polémiste rendu célèbre par la publication de La France juive en 1886, Édouard Drumont avait déjà essayé de monter une formation politique à la fin des années 1880. Fondée en 1889, la Ligue nationale anti-sémitique de France n’avait eu qu’une existence éphémère, disparaissant après 1890.
En 1892, Drumont lance La Libre Parole, journal qui joue un rôle central à la fin du xixe siècle. En 1897, quand Jules Guérin décide de relancer la Ligue antisémitique de France (qu’il rebaptisera « Grand Occident de France » par antimaçonnisme), Drumont se montre très réticent à l’encontre de ce qu’il considère comme une concurrence, malgré la présidence d’honneur qui lui a été attribuée. De même, après avoir plus ou moins subventionné la Jeunesse antisémitique d’Édouard Dubuc, le directeur de la Libre Parole lâche cette ligue en 1901, quand celle-ci devient le Parti national antijuif.
Le Comité national antijuif est créé le 3 juillet 1901 par Édouard Drumont, ses autres dirigeants étant Charles Bernard, Firmin Faure, Paul Baranton, Gaston Méry, Albert Congy, Léon Daudet, Renaud d’Ellisagaray, André de Boisandré et Charles Devos. Le Comité national antijuif installe son siège aux bureaux du journal, au no 14 du boulevard Montmartre.
Le Comité ouvre une importante souscription pour soutenir les candidats nationalistes aux législatives de 1902 qui rapporta 63.656 francs (importante somme pour l’époque).
Le 17 juin 1902, le Comité national antijuif se transforme en Fédération nationale antijuive avec pour objet la défense des « intérêts moraux, économiques, industriels et commerciaux du pays ». Ses statuts, qui reprennent mot pour mot ceux de la ligue de 1889, annoncent que l’association, dont les juifs sont exclus, a pour but de combattre « les influences pernicieuses de l’oligarchie judéo-financière ». Sa devise, « La France aux Français ! », n’est autre que le sous-titre de La Libre Parole.
La Fédération nationale antijuive compte des sections en province et sur Paris et est capable d’organiser des meetings réunissant jusqu’à 2.000 personnes. Des comités locaux de l’association sont organisés en Normandie, ainsi qu’à Bayonne, Sèvres, Lille et Bordeaux. Les femmes sont également invitées à rejoindre le mouvement.
En , les tribuns de la Fédération poursuivent une série de conférences dont l’une des plus importantes a lieu le 18 à la salle de la Société des agriculteurs de France, rue d’Athènes. D’autres réunions ont lieu le à la Porte Dorée, sous la présidence de Charles Péchin, le à la salle du théâtre de Sèvres, en présence du maire Poirot-Delpech, le à Versailles et la semaine suivante à Mantes. Au cours de ces meetings, les membres du comité exécutif de l’association partagent l’estrade avec d’autres orateurs tels que Lasies, Congy, Georges Thiébaud, Joseph Ménard et Albert Monniot ou encore avec la chanteuse Eugénie Buffet, tandis que l’entente avec d’autres ligues, celle des Patriotes et celle de la Patrie française, est clairement affichée.
La Fédération nationale antijuive reste active jusqu’à l’été 1905.
« Juifs : toute la vérité » de Constantin Plevris, présenté par René-Louis Berclaz
Né à Athènes en 1939, Constantin Plevris est avocat, ancien juge à la Cour suprême, professeur de sociologie politique et de guerre psychologique auprès de l’Académie militaire d’Athènes, expert auprès des services de renseignements grecs et auteur de nombreux ouvrages sur l’histoire, la sociologie, la politique et la culture de son pays. Il a fondé et dirigé plusieurs mouvements ou partis politiques nationalistes. Constantin Plevris était lié avec Giorgio Almirante (1914-1988), Pino Rauti (1926-2012) et Pino Romualdi (1913-1988), des hommes politiques survivants de la République sociale italienne (RSI).
Constantin Plevris a publié en juin 2006 un livre de 1400 pages, « Juifs : toute la vérité » qui a défrayé la chronique et pour lequel il fut inculpé en décembre 2006 d’incitation à la violence raciale, en vertu d’une interprétation inédite de l’art. 191 du Code pénal, lequel concerne la diffusion de fausses nouvelles. Cette inculpation faisait suite à une dénonciation du Conseil central des communautés juives de Grèce. Cette affaire était une première en Grèce, puisqu’il n’existe pas dans ce pays de législation similaire à celle en vigueur dans les autres pays d’Europe, réprimant la liberté d’expression sous prétexte de «racisme» ou de «révisionnisme».
Lors de son procès, en décembre 2007, Constantin Plevris fut condamné à 14 mois de prison avec sursis. Son éditeur fut acquitté. En appel, Constantin Plevris obtint gain de cause et le Tribunal d’appel prononça son acquittement le 27 mars 2007.
Dans l’ouvrage incriminé, Constantin Plevris considère que Joseph Goebbels était un des esprits les plus brillants du siècle, un philosophe ayant une profonde compréhension de la psychologie des foules. Constantin Plevris y écrit que le Zyklon B était un gaz toxique utilisé par les Allemands pour des motifs sanitaires et non pas pour mettre à mort des Juifs dans des chambres à gaz dont l’existence n’a jamais été prouvée. Constantin Plevris n’a pas hésité à dire dans son livre que les Juifs mettaient Jésus et Hitler dans le même bain : en l’occurrence, selon le Talmud, ce bain est un chaudron rempli d’excréments en ébullition dans lequel le Christ serait plongé pour l’éternité. Il considère que Hitler était la figure historique la plus impressionnante des Temps modernes, précisant que Hitler aurait pu débarrasser l’Europe des Juifs, mais qu’il ne l’a pas fait. Le tribunal d’appel a jugé que de telles considérations – le fait d’admirer Hitler, de mettre en cause l’Holocauste et de croire au bien-fondé des Protocoles des Sages de Sion – ne constituait pas une incitation à la violence visant les Juifs.
Traduction de l’entretien accordé par Constantin Plevris au journaliste Peter Papaherklis et publié par « Barnes Review » fin 2009.
Peter Papaheraklis (TBR) : Je suis reçu chez Constantin Plevris pour l’interroger sur son dernier livre, intitulé « Les Juifs : toute la vérité »…
Plevris : J’ai accumulé dans ce livre de 1400 pages publié il y a trois ans une masse de faits, de documents, de preuves, de photos et de références basés sur les travaux de 270 auteurs. Dès sa publication, ce livre a fait l’objet d’une plainte émanant du Conseil central des Juifs de Grèce, lequel a bénéficié du soutien du Congrès juif européen. Ces gens sont intervenus au niveau des plus hautes autorités de l’Etat : le Premier ministre, le Ministre de la Justice, afin de censurer ce livre et obtenir ma condamnation pour un délit qui n’existe pas dans le code pénal grec. Après trois années de procédures et de combats juridiques acharnés, j’ai finalement gagné à 100% devant la Cour suprême d’Athènes. La Justice a prévalu face aux pressions, le tribunal a confirmé son indépendance et a appliqué le droit.
TBR : Que pensez-vous de l’Holocauste ?
Plevris : Je ne crois pas à l’Holocauste. Bien sûr, nombre de Juifs sont morts pendant la guerre, mais il n’existe aucune preuve que les Allemands avaient l’intention de les exterminer.
TBR : Depuis quand avez-vous eu cette conviction ?
Plevris : J’ai publié en 1968 déjà un livre sur l’Holocauste intitulé « Le Mythe ». Il est tout simplement impossible d’exterminer six millions de Juifs, puisqu’il n’y avait que 4 200 000 Juifs dans les pays occupés par l’Allemagne pendant la Deuxième guerre mondiale selon les statistiques officielles. Même en les arrêtant tous, Hitler n’aurait jamais pu tuer six millions de Juifs. Mais Hitler n’a jamais prévu de tuer les Juifs : il voulait dans un premier temps les regrouper à Madagascar. Quoi qu’il en soit, près de 3 300 000 Juifs « survivants » ont reçu des indemnités de la République fédérale allemande parce qu’ils prétendent qu’ils ont été déportés et internés dans des camps de concentration. Tout cela est expliqué en détail dans mon livre.
TBR : Avez-vous déjà été à Auschwitz ou dans d’autres camps ?
Plevris : Bien sûr. Je me suis rendu à Auschwitz et à Dachau. Il n’y a pas de chambres à gaz dans aucun de ces camps, ni ailleurs.
TBR : Est-il illégal de mettre en doute l’Holocauste dans votre pays ?
Plevris : Non, absolument pas, au contraire de ce qui arrive en Allemagne et en Autriche, pour ne citer que les pays les plus répressifs. Là-bas, c’est illégal, mais pas ici, car la Grèce respecte la liberté d’expression : vous êtes libre d’y exprimer vos idées et de publier vos opinions.
TBR : Cette liberté, ce sont les Grecs de l’Antiquité qui les premiers l’ont défendue ?
Plevris : Bien sûr. Nous avons ici le culte du dialogue. Vous vous exprimez, je réponds, et nous discutons librement et sans préjugé de choses et d’autres. A plusieurs reprises, j’ai invité des Juifs à venir dialoguer à la télévision, mais ils ont toujours refusé. Pourquoi ? Parce qu’ils savent bien qu’ils ont tort et que j’ai raison. Et ce n’est pas seulement à propos de l’Holocauste, car mon livre ne cache rien des tribulations impliquant autant les Juifs que les Grecs à travers l’Histoire.
TBR : La Deuxième guerre mondiale a été dramatique pour les Grecs. Combien sont-ils morts pendant ce conflit ?
Plevris : Environ un demi-million ; 520 000 pour être exact.
TBR : Le peuple grec a connu d’autres drames au cours de l’Histoire…
Plevris : Il y a eu en 1922 le génocide du Pont, en bordure de la Mer Noire. Autour de la Grèce, il y a des Etats comme l’Albanie, la Macédoine, la Bulgarie, la Turquie, qui ont été créés sur des terres grecques. Les populations grecques de ces territoires ont été asservies et même massacrées. Ce sont là de vrais génocides ! Et personne n’est venu nous donner de l’argent ! L’Holocauste juif est une entreprise avec un objectif économique et politique. Les Juifs en ont profité. Il y a trente ans, je me souviens qu’il était écrit sur les plaques mémorielles d’Auschwitz que 4 millions de Juifs y furent tués. Par la suite, le nombre des victimes a été revu à la baisse et les plaques corrigées mentionnent maintenant un million et demi de morts : mais l’argent perçu en trop sur la foi du chiffre de 4 millions n’a pas été restitué pour autant !
TBR : L’historien romain Dion Cassius affirme 200 ans après J.- C. que les Juifs ont tué 220 000 Grecs en Cyrénaïque et 240 000 à Chypres. Qu’en pensez-vous ?
Plevris : Ce n’est pas seulement Dion Cassius qui l’affirme. Les historiens modernes le disent aussi, y compris Edward Gibbon dans son célèbre « Histoire du Déclin et de la Chute de l’Empire romain ». Les chiffres sont peut-être discutables mais ces massacres sont un fait incontestable.
TBR : Quels sont les aspects les plus contestables du mythe de l’Holocauste ?
Plevris : Nous devons tout d’abord faire preuve de bon sens. Si les Juifs disent la vérité, s’ils ont raison, ils ne doivent pas pénaliser ceux qui contestent leurs affirmations. Si vous êtes dites la vérité et que quelqu’un nie vos propos, vous devriez être capable de prouver la véracité des faits que vous avancez. Mais les Juifs refusent d’emblée tout débat et utilisent l’argument de la force au lieu de convaincre par la force de l’argument. Cette négation du débat est tout simplement incroyable pour moi. Si je veux me ridiculiser, je peux toujours dire que la Révolution américaine ne s’est jamais produite. Depuis quand faut-il sanctionner celui qui dit des bêtises puisqu’il se discrédite lui-même ? Encore faut-il prouver qu’il s’agit bel et bien de fausses allégations, ce qui ne devrait pas être le comble de la difficulté quand on dispose de tous les moyens nécessaires pour se faire entendre : pourtant, même cela les Juifs le refusent. Il n’est pas seulement interdit de nier l’Holocauste, le simple doute suffit à vous mettre hors la loi, alors que le doute est la mère du bon sens. En Allemagne et en Autriche, la manifestation du bon sens est un crime, ce qui revient à dire que les Allemands authentiques ont disparu de ces deux pays germaniques, ce qui est une forme de génocide culturel !
TBR : Quels sont les autres aspects de l’Holocauste que vous remettez en question ?
Plevris : J’ai toujours utilisé des arguments scientifiques ou de bon sens. Les Allemands sont venus en Grèce en 1941, ils ont arrêté des Juifs et ils les ont mis dans des wagons en partance pour la Pologne ou ailleurs à l’Est, là où il y avait des camps de concentration. Quel était le motif de ces déplacements ? Les Juifs nous disent : « Pour nous tuer ». Mais alors, pourquoi les Allemands ne les ont-ils pas tués sur place, en s’épargnant des frais de transport, d’organisation. N’oublions pas que l’effort de guerre était prioritaire. C’est une question de bon sens.
TBR : Comment votre livre a-t-il été reçu par le public grec ?
Plevris : Trois ans après sa sortie, il en est à sa quatrième édition.
TBR : C’est en effet un succès énorme.
Plevris : Oui, et ce succès populaire confirme celui obtenu devant les tribunaux. C’est la première fois que les Juifs n’ont pas obtenu une condamnation pénale contre un auteur publiant un ouvrage contraire à leurs intérêts.
TBR : Comment voyez-vous la politique israélienne vis-à-vis du peuple palestinien ?
Plevris : J’ai publié dans mon livre environ cinquante photographies où l’on voit l’armée israélienne commettre des crimes de guerre contre des enfants palestiniens. Toutes les preuves sont parfaitement documentées mais ce n’est pas demain que l’on verra un nouveau tribunal de Nuremberg juger les crimes sionistes.
TBR : J’ai vraiment été frappé en voyant la photographie de deux enfants palestiniens en train de lancer des pierres contre un char. Cette image vaut mille mots.
Plevris : Oui, cette image est d’autant plus parlante parce que les Juifs ne montrent jamais leur vrai visage mais élaborent sans cesse des représentations d’eux-mêmes en fonction de l’intérêt du moment, mais qui ne correspondent pas à la réalité. Ce que l’Histoire nous apprend avec certitude, c’est que les Juifs étaient les esclaves des Egyptiens, des Assyriens et des Babyloniens, puis des Perses, des Grecs, des Romains, des Byzantins, des Arabes, des Turcs, des Allemands. De là vient le mythe compensatoire du Peuple élu… Et d’esclaves, les Juifs sont devenus trafiquants d’esclaves parce que l’on fait bien ce que l’on connait bien. Et maintenant, ils ont un Etat, non pas parce qu’ils ont les capacités d’avoir un Etat, mais parce qu’ils sont aidés principalement par les Etats-Unis et l’Allemagne. Si ces aides disparaissent, Israël disparaîtra et les Juifs redeviendront esclaves…
TBR : Etes-vous au courant de l’agression israélienne contre le USS Liberty en 1967, le Rachel Corrie, ainsi que des violences subies en Israël par des journalistes américains, européens et japonais, mais dont la presse ne parle pas…
Plevris : J’ai consacré un chapitre de mon livre à l’affaire du USS Liberty, parce que ce cas démontre que les Juifs n’ont aucune gratitude envers le bienfaiteur américain. Il faut dire que de nombreux Juifs ont été condamnés pour espionnage aux Etats-Unis. Quand je parle de Juifs, je n’englobe pas tous les Juifs, car il faut reconnaître qu’il y a aussi des Juifs honnêtes. Si un Juif renonce au Talmud et aux mythes fondateurs comme ceux du Peuple élu et de l’Holocauste, il devient fréquentable mais je n’en connais pas beaucoup…
Lors de mon procès, j’ai déclaré à la Cour : « Regardez, ces gens prétendent qu’ils sont le peuple élu de Dieu et ils ont le culot de m’accuser de racisme ! ». Quoi qu’il en soit, quand j’affirme quelque chose, j’accepte le débat, la controverse, la discussion. En ce qui concerne les Juifs, il faut mettre les cartes sur la table. Mais les Juifs refusent toujours. C’est pourquoi je soupçonne que quelque chose cloche avec eux : parce qu’ils refusent le libre débat !
TBR : Les Juifs ont prétendu avoir été diffamé par votre livre… Est-ce vrai ?
Plevris : Le président du tribunal de première instance était contre moi, raison pour laquelle j’ai été condamné à 14 mois de prison avec sursis. J’ai pu en appel démontrer que ce juge avait violé la loi en me condamnant. Il a été révoqué par le Ministère de la Justice. En appel, les cinq juges, suivant en cela l’avis du procureur, ont décidé que je n’étais pas coupable ! Jamais dans mon livre je n’ai incité à commettre des actes illégaux, jamais ! Je me suis toujours efforcé de prouver mes dires, et si les Juifs avaient été en mesure de démontrer que je me trompe quelque part, croyez bien qu’ils l’auraient fait ! Mais ils ne l’ont pas fait, et pour cause ! Ils ont choisi pour me contrer la procédure judiciaire. Et ils ont perdu : totalement et définitivement.
TBR : Quel fut le rôle joué par Mme Andrea Gilbert, une dirigeante du Conseil central des communautés juives de Grèce ?
Plevris : S’il vous plaît ! Je n’ai aucune envie de parler de cette lesbienne ! Comment une femme qui ne respecte pas sa propre nature peut-elle respecter la vérité ! Or, non seulement elle est lesbienne, mais aussi présidente de la Fédération lesbienne grecque.
TBR : Quel est donc ce Conseil central des communautés juives de Grèce ?
Plevris : Ce Conseil a prétendu que quelqu’un, après avoir lu mon livre, est allé profaner le cimetière de Patras en dessinant des croix gammées sur des tombes juives ! Quand j’ai demandé si le profanateur avait été arrêté, on m’a dit que oui, que c’était le fils d’un rabbin ! C’était un agent provocateur !
TBR : Si vous n’avez pas été sanctionné pour incitation à la violence contre les Juifs, pouvez-vous justifier des violences que d’autres ont commis dans le passé ?
Plevris : Je suis contre toute forme de violence. Quand vous êtes en mesure de prouver à 100% que la vérité est de votre côté, vous n’avez pas besoin de la violence. Les Juifs nous accusent d’inciter à la violence, mais eux-mêmes sont auteurs d’actes violents. Regardez ce qui se passe en Palestine !
TBR : Il semble que vos ennemis ont été très sélectifs dans leurs accusations. Votre livre contient de très larges citations du Talmud, des preuves évidentes de la haine anti-chrétienne des Juifs. De tout cela, ils n’en parlent pas. Comment pouvez-vous l’expliquer ?
Plevris : Les Juifs refusent le débat dès qu’il devient brûlant pour eux…
TBR : Comment voyez-vous l’avenir de la Grèce ?
Plevris : L’avenir de la Grèce est très problématique avec les millions d’immigrants en provenance d’Albanie, du Pakistan, d’Afrique et de partout. Ces gens ont bouleversé l’équilibre de la nation.
TBR : Quelle est la population de la Grèce actuellement ?
Plevris : Nous en sommes à 11 millions, dont 20% d’étrangers. Ces gens sont indésirables et ils doivent retourner dans leur pays. Mais les partis politiques au pouvoir font valoir les Droits de l’homme en faveur de ces étrangers, mais pas pour les Grecs. Le vrai racisme est celui des étrangers aux dépens de la population de souche.
TBR : En 1968 déjà, vous avez écrit un livre sur l’Holocauste. Que pouvez-vous nous dire de ce livre ?
Plevris : Le titre de ce livre, « Le Mythe », est significatif du problème qu’il aborde : celui du mythe de l’Holocauste.
TBR : A l’époque où vous avez écrit ce livre, vous étiez un précurseur en Grèce et même dans le monde entier ?
Plevris : C’est exact. D’ailleurs, les Juifs se sont plaints, mais en ce temps-là j’étais secrétaire général au ministère de la Sécurité nationale et je pensais n’avoir rien à craindre d’eux. Lorsqu’on a 28 ans, on n’a peur de rien !
TBR : Vos livres révisionnistes ont-ils été traduits dans d’autres langues ?
Plevris : « Le Mythe » a été traduit en allemand et en arabe. J’aimerais bien traduire mes autres livres en anglais, mais le travail de tous les jours ne m’en a pas donné l’occasion.
TBR : Combien d’exemplaires de votre dernier livre « Les Juifs : toute la vérité » avez-vous vendu ?
Plevris : Entre 30 et 40 000 exemplaires.
TBR : Quel message voudriez-vous communiquer à nos lecteurs en guise de conclusion ?
Plevris : En Europe, nous appartenons à des Nations différentes, mais notre point commun, c’est d’être de race blanche. Les races, qu’elles soient blanche, jaune, noire ou rouge, doivent préserver leur identité. Mais les Juifs veulent mélanger les races pour créer le « Goy universel », un zombi taillable et corvéable à merci. Ce n’est pas un hasard si les peuples sont noirs en Afrique, jaunes en Asie et blancs en Europe, car ces particularités font partie de l’ordre naturel des choses. Notre devoir est de préserver l’identité et le cadre naturel de chaque race car nous avons tous le droit d’être blanc, noir ou jaune et de vivre dans notre lieu d’origine.
TBR : M. Plevris, je vous remercie vivement de m’avoir accordé cet entretien.
Saluons encore l’érudition sans faille de Constantin Plevris et remercions-le pour sa détermination exemplaire à défendre le bon droit et le bon sens, socle des droits fondamentaux. Notons bien que le juge inique à l’origine de la condamnation en première instance de Constantin Plevris fut destitué et que les plaignants n’ont pas contesté le jugement d’acquittement en s’abstenant de recourir devant la Cour européenne des Droits de l’homme. Les plaignants auraient eu avec ce procès l’occasion de prouver la véracité de leurs allégations, puisque l’inculpation portait sur la diffusion de « fausses nouvelles ». Ils n’ont pas pu en faire la démonstration, ce qui revient à dire que les « fausses nouvelles » n’étaient pas si fausses que ça et que les plaignants étaient des diffamateurs.
C’est la raison pour laquelle les pays soumis à la mafia juive ont dû élaborer une nouvelle législation pour éviter d’entrer dans le vif du sujet en prétendant que les publications révisionnistes constituaient une « incitation à la haine raciale », ce qui est une vue de l’esprit qui reste à démontrer. En rupture avec la doctrine juridique des Etats de droit censés ne juger que des faits, de telles lois réhabilitent le procès d’intention où l’on juge des idées. Le quotidien de Berlin TAZ du 9 février 2007 a d’ailleurs relevé, lors du procès de l’avocate révisionniste Sylvia Stolz, que le tribunal avait rejeté toutes les preuves soumises à l’appréciation de la cour, pour la bonne et simple raison « qu’il est complètement indifférent de savoir si l’Holocauste a vraiment eu lieu ou n’a pas eu lieu. Sa négation est illégale en Allemagne et c’est tout ce qui compte pour le tribunal. » Cette déclaration méprisante fait l’impasse sur le sort des victimes de la Deuxième guerre mondiale puisque que des juges allemands se disent indifférents de savoir si l’Holocauste a vraiment eu lieu ou n’a pas eu lieu. Cette déclaration est une offense à la mémoire des victimes présumées et des présumés coupables puisque ces juges renoncent sciemment à faire la lumière sur des crimes incroyables, quand bien même des documents probatoires sont entre leurs mains. Le déni de droit est flagrant et constitue un outrage envers les justiciables qui croient à l’impartialité des juges et une forfaiture car un tribunal a le devoir d’entendre les parties et de se prononcer sur les preuves soumises à leur appréciation. Quand il s’agit de juger des révisionnistes, trois mille ans de culture gréco-latine, deux mille ans d’humanisme chrétien et deux cents ans de raison critique sont balayés d’un revers de manche par des juges à la botte pour complaire aux sectateurs du culte nécromancien de l’Holocauste. L’affaire Plevris est l’exception qui confirme la règle et son jugement exemplaire démontre que le mythe de l’Holocauste ne résiste pas à un procès impartial.
http://www.propagandes.info/blog/juifs- … s-berclaz/
il n’y a qu’a les isoler
Excellente idée direction l’oblast du Birobidian fondé le 7 mai 1934 à partir par Joseph Staline du district national juif du territoire d’Extrême-Orient et avec le yiddish comme langue officielle. Il attire peu de Juifs à sa création et d’autant moins après la création de l’État d’Israël en 1948. Il conserve cependant le statut de terre d’accueil pour les Juifs …
Et pour les francs-maçons?
Ont-ils contribué eux aussi à faire advenir la tuerie de 1914-1918 ?
Oui !
Bravo pour cet article complet et indéniable :dans le modèle des recherches révisionnistes brillantes et magistrales de l’immense Professeur Robert Faurisson, érudit et savant, de mère écossaise, qui fut jusqu’à sa mort le défenseur de l’Allemagne (rasée à 80% en 1945 par les tapis de bombes des libérateurs « civilisés » anglo-saxons), historien de renommée internationale diffamé gravement par des accusations mensongères, des calomnies sans preuves et victime de dix agressions dont la dernière faillit être mortelle . Post scritum : je fus pendant plus de vingt ans un conseiller très proche du Professeur en tant que spécialiste dans la recherche de la vérité historique . Jean
Il existe également de bons auteurs comme Istvan Bakony et son ouvrage: Impérialisme, Judaïsme et Communisme, ces trois forces qui dominent le monde (Editions Saint Rémi) qui en page 256 fait référence au docteur Arnold A. Hutschenecker (également juif) qui fut le thérapeute du Président Nixon qui publia dans le journal l’American Journal of Psychiatry, un article démontrant que les Juifs sont porteursde schizophrénie…
Et nous avons aussi le Chevalier Gougenot des Mousseaux (1805-1876) qui expliqua très bien l’enjuivement des races blanches avec son ouvrage: Le Juif, le Judaïsme et la Judaïsation des peuples chrétiens (Editions saint Rémi)
Merci à Jeune Nation pour ce rappel de l’histoire à la mémoire d’un homme de gauche d’une grande richesse intellectuelle, qui fait partie des proscrits de notre époque.
Je pense toutefois que sa stratégie politique frontale, n’était pas la bonne, mais c’est mon opinion. Je n’ai évidemment pas la prétention de refaire l’histoire, mais mon opinion est toujours valable.
ADDITIF / J’ai oublié de précisé que mon analyse visait le commentaire de notre ami « Fracasse » sur l’article « Juifs : toute la vérité » de Constantin Plevris, présenté par René-louis Berclaz ! Toutes mes excuses pour cette lacune . Jean
C’était le bon temps, aujourd’hui juste de critiquer un juif et c’est les ennuis!!
Curieux de savoir ce que Drumont aurait pensé de ça:
https://archive.org/details/LeJuifSuss1940
LA FRANCE ET L’ANTI-FRANCE
La transmission davidique à la monarchie française, un gesta Dei per francos (sa matière et sa forme).
La naissance de la royauté française commence bien le 25 décembre 496, et non pas en 987 avec l’élection d’Hugues Capet (939-996) comme le pensent les maurassiens ; ce baptême désiré par l’action incroyable des saint Rémi, Saint Vaast et de l’amour de sa femme, Sainte Clotilde, princesse Burgonde convertie au catholicisme. Rémi était pour Clovis ce que le prophète Samuel était au jeune roi David, cette royauté française est le relais de la royauté davidique, mais attention, avec un intermédiaire, vrai Dieu et vrai homme incarné, hypostase remise en doute par la plupart des hérésies. Le Christ, vrai Dieu incarné rétablit cette transmission davidique à cette nouvelle royauté, à cette nouvelle race provenant de la Gentilité. Cette retransmission se fait donc par le Christ, Jésus Incarné mort et ressuscité et qui parachève le mosaïsme, ce qui fait que celui-ci est mort et enterré avec le Christ et on ne peut plus dire judéo-chrétien. Ce judaïsme est mort, il a été utile avant le Christ, c’est le Christ qui parachève de par soi-même la transition entre l’Ancien Testament et le Nouveau et ouvre son enseignement à toute la Gentilité et non plus au seul Peuple Elu. Cette Royauté française, à partir de Clovis et sous l’action de l’action de l’Evêque Saint Rémi est une transmission, l’incarnation d’une nouvelle royauté qui passe à une étape supérieure dans le cadre de la Nouvelle Alliance et Sainte Jeanne d’Arc est là pour rappeler le fameux baptême de Clovis qui est l’élément clef qui instaure la Royauté du Christ sur la France, pour Pierre Hillard cette France est embryonnaire et sa marque matérielle serait la fameuse bataille de Bouvines du 27 juillet 1214, et sur ce point, je ne suis pas d’accord, car le « Le Pacte de Reims », c’est l’acte, la forme, il nous faut comprendre ici le concept clef d’hylémorphisme de la philosophie aristotélicienne de matière et de forme, la puissance et l’acte, que les sédéprivationnistes réunis autour de Mgr Guérard des Lauriers (1898-1988) n’avaient pas saisi puisque dans sa thèse Cassiciacum , ils considéraient que Paul VI (Montini) était pape materialiter mais non formaliter, un pape « hégélien », en devenir en somme… Mgr Albert Farges (1848-1926), docteur en philosophie et en théologie apporte de l’eau à notre moulin, dans son ouvrage Matière et forme , en présence des sciences modernes, il écrit ceci : « Nous répondrons qu’il est en effet impossible de les voir des yeux du corps ou de le de l’imagination ; mais qu’il n’est pas bien difficile de les concevoir par une abstraction de l’esprit. Il suffit qu’elles aient une essence différente pour les concevoir à part, et qu’en même temps elles soient chacune si incomplète qu’elles aient besoin pour exister de se soutenir mutuellement, ou de se subordonner dans une dépendance mutuelle. La vitesse peut-elle exister sans une direction ? Nullement. Une direction du mouvement peut-elle exister sans une vitesse ? Pas davantage. Et cependant la direction n’est pas la vitesse : un enfant est capable de se faire une idée de l’une ou l’autre séparément, parce qu’elles ont deux essences distinctes, quoique réunies de fait dans une même existence. Ainsi en est-il de la Matière et de la Forme : inséparables quant à l’existence, elles sont séparables par abstraction en deux essences réelles profondément dissemblables. » Mgr Guérard des Lauriers reconnaîtra plus tard son erreur, ce qui rendra caduc sa thèse de Cassiciacum et la disparition du courant sédéprivationniste.
Cette victoire de Bouvines n’est en définitive qu’un Gesta Dei per Francos, et il y en aura encore beaucoup d’autres. La France par le Baptême de Clovis devient « La fille Aînée de l’Eglise », car elle seule est vraiment catholique depuis que l’Occident et l’Orient sont tombés dans l’hérésie arianiste, seuls deux évêques défendirent le Credo de Nicée, Saint Hilaire (315-367), encore un gesta…pour l’Occident et Saint Athanase (298-373) pour l’Orient.
De même, qu’au cours de la bataille de Vouillé en 507, Clovis tua le chef wisigoth (arianiste) Alaric de sa main, puis se rendit à Poitiers puis à Tours pour rendre un hommage public à Saint Hilaire, évêque de Poitiers et à saint Martin. (N’y voyez-vous pas l’intervention de la Providence ?)
Pour Pierre Hillard, la France c’est d’abord une marque spirituelle, un sceau, et la mission de Sainte Jeanne d’Arc sera de rappeler cette dimension surnaturelle et de faire sacrer Charles VII (1403-1461) à Reims, d’ailleurs où est-elle née ? A Domrémy (Domus-Maison) et Rémi (L’évêque), c’est le résumé de la science politique française, la transmission davidique, l’élément clef étant l’incarnation.
Cette transmission davidique est d’ailleurs visible sur la façade de Notre-Dame , en effet, à mi-hauteur vingt-huit statues y figurent, et ne sont pas celles des mérovingiens, ni celles des carolingiens ou celles des capétiens, elles y ont été mises durant la première moitié du XIIIème siècle et il s’agit des quinze statues des rois de Juda et les treize autres ce sont celles de hauts fonctionnaires qui étaient au service de ces rois davidiques, que la royauté française mettait en valeur cette transmission de la royauté davidique, mais ne l’oublions jamais couronnée par l’Incarnation, l’expression Rois Juifs d’Éric Zemmour, est une expression, fausse et perfide…D’ailleurs, tous ces politiciens, véritables nains ne sont plus portés par des épaules de géants, ils baignent tous dans un monisme qui est comme l’air que l’on respire, et ce monisme nie que toute distinction réelle est une illusion justifiant la célèbre parole d’Aristote : « Le malheur commun de toutes ces belles théories, c’est comme on l’a répété cent fois, de se réfuter elles-mêmes » (Cf. La Métaphysique, I. III, c ; 4 § 24). Saint Pie X qualifiera dans son Encyclique Pascendi Dominici gregis (1907) le Modernisme « d’égout collecteur de toutes les hérésies … tendant à l’anéantissement du Christianisme », Mgr d’Hulst le nomme Monisme évolutionniste, car il a pour objectif de vider les dogmes catholiques du surnaturel.
Aujourd’hui, l’intelligence est en péril de mort , le « Petit nombre » de catholiques, est réparti comme le bon blé au milieu de champs d’ivraies, il faut que les catholiques deviennent les cultivateurs de leurs âmes, sollicitant l’engrais qui sont les grâces, afin que ce bon grain puisse vivre par, pour et en Christ, N.-S.-J.-C. étant la tête du corps Mystique, sa Très Sainte Mère, le cou par où passent toutes les grâces, le Christ est le pain vivant, manger et boire son sang pour obtenir la vie éternelle est la vie, car la vie ce n’est rien que toute vie dans la nature et la surnature.